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- L’épée de vérité -5- L’ame du feu
Terry Goodkind
L’épée de vérité -5- L’ame du feu
Pour arracher à la mort l’homme qu’elle aime, la mère inquisitrice a prononcé le nom des trois carillons. Sans le vouloir, elle a ainsi invoqué des êtres de l’au-delà et libéré une puissance destructrice inimaginable. On raconte que les trois Carillons volent les âmes des vivants et absorbent la magie du monde ! Richard, Kahlan et Zedd vont se lancer dans une quête effrayante. S’ils perdaient leurs pouvoirs magiques, comment pourraient-ils s’opposer aux hordes du terrible empereur Jagang ?
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Je vous le dis franchement : je stresse! Nous vivons vraiment clans un univers IM-PI-TOYABLE ! Prenez par exemple Jean-Claude, propriétaire, entre autres, du Cirque des Damnés, une boîte branchée des plus rentables. Eh bien, il n’est entouré que de gens qui veulent soit lui faire la peau, soit prendre sa place, voire les deux. Tous des vampires, bien sûr, avec des dents qui rayent le parquet. Vous me direz que, même s’il ale sens de l’humour, J. -C. , lui aussi est un vampire et que sa principale ambition semble être de faire de moi son esclave. Peut-être finalement devrais-je laisser les loups-garous et autres se dévorer entre eux. Et plutôt me consacrer à empêcher mes chers zombies de nuire.
Les aventures de Tom Bombadil
Au milieu des années cinquante, un professeur d’Oxford à l’imagination inépuisable créait une épopée fabuleuse qui allait devenir l’objet d’un culte jaloux pour toute une génération de lycéens anglais avant de conquérir le monde entier. Aujourd’hui, les lecteurs du « Seigneur des anneaux » se comptent par millions, mais ces adeptes des « Hobbits » et de leur pays des merveilles continuent à se comporter comme une secte secrète ou une maçonnerie d’initiés. Afin de faciliter l’accès des plus jeunes à son royaume fantastique, J.R.R. Tolkien publia « Bilbo le Hobbit », sésame de l’œuvre, en 1937 et, plus tard, des récits comme « Les aventures de Tom Bombadil », le joyeux drille, qui prolongent l’enchantement sur le rythme des comptines enfantines.
Le Clan des Otori – tome I – Le Silence du Rossignol
Dans sa forteresse d’Inuyama, le Seigneur Iida Sadamu est protégé par le fameux «parquet du rossignol» qui conduit à sa chambre. Construit avec un art consommé, ce parquet chante dès qu’on l’effleure. Aucun assassin ne peut le franchir sans qu’Iida l’entende… Au XIVe siècle, dans un Japon médiéval mythique, le jeune Takeo grandit au sein d’une communauté paisible qui condamne la violence. Mais celle-ci est massacrée par les hommes d’Iida, chef du clan des Tohan. Takeo, sauvé par sire Shigeru, du Clan des Otori, se trouve plongé au cœur de luttes sanglantes entre les seigneurs de la guerre. Il doit suivre son destin. Mais qui est-il ? Paysan, seigneur ou assassin ? D’où tient-il ses dons prodigieux ? Lorsqu’il rencontre la belle Kaede, un amour fou naît entre les deux jeunes gens : devra-t-il choisir entre cet amour, sa dévotion à sire Shigeru et son désir de vengeance ? Sa quête le mènera jusqu’à la forteresse d’Inuyama, lorsqu’il marchera sur le « parquet du Rossignol « . Cette nuit-là, le rossignol chantera-t-il ?
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Trois jeunes gens, trois amis, Max, Fabio et Octavien visitent les ruines de Pompéi au XIXème siècle. L’un d’eux, Octavien, lors d’une visite au musée des Studj, musée archéologique de Naples, aperçoit la silhouette d’une jeune femme à jamais prisonnière de la cendre. Le soir, après un dîner bien arrosé, Octavien revient seul dans la ville antique. Il se rend compte qu’il se promène dans la Pompéi antique, sur laquelle ne sont passées les cendres et la lave du Vésuve. La ville vit et les habitants, dont l’accueillant Rufus Holconius se rendent tous au théâtre. Et si la jeune femme qu’il avait vue dans le musée, prisonnière de la cendre, était encore en vie…