- Home
- >
- Fantastique
- >
- L’épée de vérité -5- L’ame du feu
Terry Goodkind
L’épée de vérité -5- L’ame du feu
Pour arracher à la mort l’homme qu’elle aime, la mère inquisitrice a prononcé le nom des trois carillons. Sans le vouloir, elle a ainsi invoqué des êtres de l’au-delà et libéré une puissance destructrice inimaginable. On raconte que les trois Carillons volent les âmes des vivants et absorbent la magie du monde ! Richard, Kahlan et Zedd vont se lancer dans une quête effrayante. S’ils perdaient leurs pouvoirs magiques, comment pourraient-ils s’opposer aux hordes du terrible empereur Jagang ?
Vous aimerez aussi
Le carnets du ravage
Faëlle est belle comme un ange. C’est aussi une adolescente presque sans histoire, bien décidée à s’intégrer dans son nouveau lycée. Mais cette rentrée n’est pas comme les autres : des gens autour d’elle changent de comportement, deviennent agressifs, dépressifs ou violents. Fëlle découvre qu’ils sont victimes des Ravageurs, invisibles semeurs de folie et de mort venus d’un autre monde aux couleurs éclatantes, la Lande. Et si Faëlle était liée à ce monde elle aussi ? Faëlle… ou Raphaëlle, ange implacable du Ravage.
Bruissements d’ailes
Christal. Maud. Krystel. 3 femmes. 3 destins. Des personnalités fortes, des femmes de tête, des blessures secrètes. Une mère. Une épouse. Une soeur. Malgré les distances qui les séparent, malgré les époques qui les éloignent, 3 femmes nées pour se rencontrer. Et ne faire qu’une ?
L’Eve future
L’Ève Future (1886) est au roman ce que les « Poésies » de Mallarmé sont à la poésie : le chef-d’oeuvre de l’époque symboliste, l’anti-Zola, l’anti-Goncourt.
Villiers est le plus grand conteur fantastique français. La donnée est fantastique, ou de science-fiction, puisqu’il s’agit de créer une femme artificielle, qui évite les inconvénients des femmes réelles. Ce livre traite de l’amour impossible, pour une femme qui n’existe pas. C’est aussi un roman de la révolte, qui se termine sur le frisson du créateur de l’automate. Edison, face au silence glacé, à « l’inconcevable mystère » des cieux ; un roman proche du mythe de Faust autant que de Jules Verne, par l’anticipation scientifique ; un ouvrage philosophique parce qu’il médite sur l’être et le paraître. Le style est brillant, somptueux, insolite et ironique, comme Mallarmé l’a relevé : il mène « l’ironie jusqu’à une page cime, où l’esprit chancelle. »
Chronique des Vampires – Le Domaine Blackwood
Quinn Blackwood parcourt les splendeurs de son domaine. Il fuit : hanté depuis sa naissance par un double maléfique, il cherche à échapper à cet esprit. En vain. Lorsque Quinn se voit transformé en vampire, héritier d’une immortalité qu’il n’a jamais souhaitée et coupé de tout ce qui faisait sa vie, il s’aperçoit que son double est devenu encore plus sanguinaire et terrifiant. Le récit nous conduit du domaine Blackwood à La Nouvelle-Orléans, de la Grèce antique à la Naples du dix-neuvième siècle. Dans les pas de Quinn, nous suivons la trace du légendaire vampire Lestai, qui, espère-t-il, l’aidera peut-être à échapper au spectre qui l’entraîne inexorablement vers les marais démoniaques et leurs abominables secrets. Plus qu’une histoire de vampires et de sorcières, ce roman est construit sur une intrigue puissante, entre liens du sang et liens sanglants, fantasmes et fantômes.