Robert McCoy
Les 10 plus grands phénomènes
Pendant des siècles, les hommes ont cherché en vain à percer les mystères de leur environnement, qui font couler beaucoup d’encre, prêtent à de nombreuses interprétations, parfois terre à terre et parfois plus mystiques.. Disparitions intrigantes, fantômes, pouvoirs psychiques, malédictions, apparitions, Robert McCoy évoque ici des phénomènes inexpliqués parmi les plus fascinants et y apporte des éclairages. La mystérieuse disparition d’Amelia Earhart, les pouvoirs paranormaux de Raspoutine, les trésors perdus des Aztèques, le peuple des Dogon, les Mayas…
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Le carnets du ravage
Faëlle est belle comme un ange. C’est aussi une adolescente presque sans histoire, bien décidée à s’intégrer dans son nouveau lycée. Mais cette rentrée n’est pas comme les autres : des gens autour d’elle changent de comportement, deviennent agressifs, dépressifs ou violents. Fëlle découvre qu’ils sont victimes des Ravageurs, invisibles semeurs de folie et de mort venus d’un autre monde aux couleurs éclatantes, la Lande. Et si Faëlle était liée à ce monde elle aussi ? Faëlle… ou Raphaëlle, ange implacable du Ravage.
Le collectionneur
Selon des rumeurs officieuses au FBI, la profiler Maggie O’ Dell s’est grillée et a besoin de repos. On raconte que son instinct s’est émoussé, qu’elle est devenue agressive et prend trop de risques ; obsédée par l’idée de capturer Stucky, elle a basculé dans la paranoïa… Mais on dit aussi que le patron du FBI l’a écartée de l’enquête pour la protéger du tueur. Huit mois plus tôt, elle a joué une dangereuse partie de cache-cache, qui a permis l’arrestation de Stucky. Mais elle l’a chèrement payé : il l’a torturée et elle n’a échappé à la mort que de justesse… Aujourd’hui, Stucky, surnommé « Le Collectionneur » s’est évadé, et pour Maggie O’Dell, le cauchemar recommence : car cette fois, il ne lui laissera aucune chance de s’en tirer. Il a sur elle un avantage : pour qu’elle le retrouve, elle devra attendre le premier cadavre… Maggie n’attend pas longtemps : un crime, qui porte la sanglante signature du Collectionneur, se produit le jour même de son arrivée à Newburgh Heights où elle vient emménage après son divorce…
La malédiction des colombes
« L’homme répara le fusil et la balle glissa en douceur dans la Chambre. Il l’essaya plusieurs fois, puis se leva et se tint au-dessus du berceau… L’homme épaula le fusil. Autour de lui, dans la pièce close, l’odeur du Sang frais montait de toute part. »
Considérée comme l’une des grandes voix de la littérature américaine contemporaine, Louise Erdrich bâtit, livre après livre, une œuvre polyphonique à nulle autre pareille. Dans ce roman riche et dense, elle remonte le fil de l’histoire collective et individuelle, explore le poids de la culpabilité et le prix de l’innocence.
Depuis toujours, la petite ville de Pluto, Dakota du Nord, vit sous « la malédiction des colombes » : les oiseaux dévorent ses maigres récoltes comme le passé dévore le présent. Nous sommes en 1966 et le souvenir de quatre innocents lynchés cinquante ans auparavant hante toujours les esprits. En écoutant les récits de son grand-père indien qui fut témoin du drame, Evelina, une adolescente pleine d’insouciance, prend soudainement conscience de la réalité et de l’injustice…
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« Une prose qui allie le réalisme magique de Garcia Màrquez et le rythme narratif de Faulkner… Compassion, humour, et la passion dénuée de sensiblerie d’un écrivain qui sait que la tragédie et la comédie sont inéluctablement liées. »
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Trente ans et des poussières
C’était à Manhattan, dans les années 80. Corrine était courtière en Bourse ; Russell éditeur. Ils avaient trente ans et des poussières. Leurs amis les trouvaient beaux et spirituels. Mais … Mais Corrine a voulu des enfants et Russell n’était pas prêt. Jeff s’est remis à prendre de la dope, Trina Cox est arrivée, et soudain, tout s’est mis à déraper. Ce n’est pas grave, ont-ils pensé. Juste une petite erreur de script. Ils n’avaient oublié qu’une seule chose : dans la vie, on ne tourne pas une deuxième fois les scènes ratées. Le 18 octobre 1987, les golden boys se jetaient du haut des immeubles, à Wall Street.

