- Home
- >
- Grand format
- >
- Les années Twist
Pierre Saka
Les années Twist
Les refrains et les images des années 1960 à 1970 qui ont vu une révolution culturelle musicale avec Johnny Hallyday, Sylvie Vartan, Françoise Hardy, Eddy Mitchell, France Gall, Jacques Dutronc et les autres. Par un spécialiste de la chanson française.
Vous aimerez aussi
Et la force d’aimer
Mona surgit un soir au bord du canal Saint-Martin, jolie fille seule, épuisée. Lorsqu'il la voit, Emmanuel, installé mais célibataire, séducteur mélancolique, lui offre l'hospitalité, sans vraiment savoir pourquoi. Quelle force l'amène à protéger et à cacher la criminelle en fuite, jugée pour le meurtre de Tom, son amant ? Quelle force habite Mona, capable après neuf ans de détention, après une évasion mystérieuse, de tenter l'impossible pour s'approcher d’Éveline, sa fille, jamais revue depuis sa naissance en prison ? Emmanuel se décide à l'emmener au sud, où vit la petite, mais il ne trouve pas la bonne route, et les saisons passent dans un pays soudain vaste comme l'Amérique.
Mal d’enfant
Novembre à Londres. Pluie battante, bien entendu. Deborah Saint-James, qui fait des fausses couches à répétition, est déprimée… A la National Gallery, la vision d’une radieuse Vierge à l’Enfant de Léonard de Vinci lui sape définitivement le moral. Un pasteur qu’elle rencontre au musée l’invite à lui rendre visite dans le Lancashire. Deborah et son mari partent donc pour le Nord, histoire de se changer les idées. Mais, arrivés à destination, ils apprennent que Robin Sage, leur hôte, vient de mourir des suites d’un empoisonnement accidentel. Expert en sciences légales, Simon Saint-James accueille la nouvelle avec scepticisme: l’ingestion accidentelle du poison qui a causé le décès est presque impossible !
La brute apprivoisée
– Le duc de Peregrine ? Mais tu es folle ! Si tu épouses cet homme, ta vie sera un enfer. En dépit des avertissements, Liana s’entête. Elle a vu défiler d’innombrables prétendants, qui lui débitaient des compliments insipides tout en lorgnant sa dot. Pas un seul n’a fait battre son coeur comme ce colosse roux aux manières détestables. Le souvenir de leur brève étreinte, près d’une source, suffit à la faire défaillir. A peine le mariage célébré, Peregrine arrache sa jeune épouse à sa famille pour l’emmener dans son domaine : un château à demi ruiné, d’une saleté repoussante et peuplé d’une bande de sauvages. Liana pourrait à la rigueur s’accommoder de l’inconfort de sa nouvelle demeure. Mais son mari la délaisse chaque nuit pour retrouver son harem de servantes-maîtresses, arrogantes et stupides. C’en est trop : il faut mater ce rustre ! L’épreuve sera rude. Mais sous son apparente douceur, Liana dissimule une volonté inflexible !
Les deux fins d’Orimita Karabegovic
Elles sont douze, « choisies entre toutes les femmes », leur a dit le Professeur. En raison de leur culture et de leurs origines. Et parce que ce sont des intellectuelles. Leur culture est européenne : rien à redire, n’est-ce pas, à la culture européenne, ses Lumières, ses sciences, ses arts, ses philosophies, son universalisme. Ce sont leurs « regrettables origines » qu’il va falloir purifier. Et les lieux de ces origines : villes et villages, corps. D’intellectuelles qui comprendront. Orimita Karabegovic est l’une d’elles. Quand la guerre a commencé elle préparait à l’université de Zagreb une thèse sur Mallarmé et la logique négative et espérait devenir professeur de littérature française. Le jour où la guerre a éclaté elle assistait à un mariage à Vukovar. On ne croyait pas à la guerre. On croisait sur la route quelques convois de réfugiés. Les Serbes avaient bien rasé des villages et quelques bourgades, à l’ouest de la Slavonie et au nord de la Krajina…