- Home
- >
- Bande dessinée
- >
- Les Blondes 19 – Ça plane pour moi
Gaby, Dzack
Les Blondes 19 – Ça plane pour moi
Une nouvelle avalanche de gags pour l’une des séries Best-Seller de la BD ! On a tous une « Blonde » qui sommeille en nous…
Vous aimerez aussi
Passé à vif
En compagnie de Jon, son fils de quinze ans, Kate Summers mène une vie paisible à Hopewell, une petite ville de l’Oregon recouverte comme chaque année d’un manteau de neige. Une vie paisible en apparence seulement… car elle reste hantée par la peur : et si, un jour, quelqu’un venait lui réclamer cet enfant qui n’est pas le sien et qui ignore le secret de sa naissance ? D’autant que Jon lui a récemment confié faire des cauchemars qui le terrorisent, dans lesquels un homme qui prétend être son père essaie de le tuer … Aussi Kate est-elle envahie par la terreur quand elle s’aperçoit que l’inconnu qui vient d’emménager dans la maison voisine de la sienne essaie par tous les moyens d’entrer en relation avec Jon… Qui est cet homme séduisant et mystérieux qui semble dissimuler de lourds secrets ? Pourtant, ce que Kate ignore encore, c'est qu’elle et son fils sont déjà cernés par le mensonge et la trahison. Et surtout par des gens qui ne reculeront devant rien, pas même le meurtre, pour parvenir à leurs fins…
Tapis rouge
À New York, un célèbre producteur meurt empoisonné dans un palace. Puis c’est un acteur vedette qui est assassiné en plein tournage… La ville est en ébullition. D’autant que le psychopathe semble avoir planifié ses meurtres avec une minutie diabolique, comme s’il s’agissait d’un film à grand spectacle… Le NYPD Red – l’unité d’élite chargée de protéger les VIP – se voit confier le soin d’assurer la sécurité des stars du 7e art présentes en ville le temps d’un festival. Zach Jordan et sa nouvelle partenaire ont un but et un seul : stopper le tueur avant que les tapis ne deviennent tous rouge… sang !
L’Annonce
Paul a quarante-six ans. Paysan, à Fridières, Cantal. Cinquante trois hectares, en pays perdu, au bout de rien. Il n’a pas tout à fait choisi d’être là, mais sa vie s’est faite comme ça. Paul n’a qu’une rage : il ne veut pas finir seul, sans femme. Annette a trente-sept ans. Elle est la mère d’Eric, bientôt onze ans. Elle n’a jamais eu de vrai métier. Elle vient du Nord, de Bailleul. Annette a aimé le père d’Eric, mais ça n’a servi à rien, ni à le sauver du vertige de l’alcool, ni à faire la vie meilleure. Alors elle décide d’échapper, de recommencer ailleurs, loin. D’où l’annonce. Paul l’a passée. Annette y a répondu. Sauf qu’il y a les autres. Le fils silencieux, et la mère d’Annette. Et les autres de Paul, ceux qui vivent avec lui à Fridières. Les oncles, propriétaires des terres. Et la sœur, Nicole, dix-huit mois de moins que Paul, qui n’a pas de mari pas d’enfant.
Un goût de cendres
Rien de plus idyllique que le Kent au printemps. Nettement moins idyllique, en revanche, cet incendie qui, dans un cottage de rêve, fait une victime, retrouvée carbonisée. Accident ? Acte criminel ? Tandis que la police du comté procède aux constatations, recherche d'indices et relevés d'usage, l'inspecteur Lynley et le sergent Havers interrogent les proches et les amis londoniens de la victime. L'enquête, minutieuse, permet à Elizabeth George de brosser une époustouflante galerie de personnages. Parmi les plus réussis, Miriam Whitelaw et sa fille Olivia, qui forment un véritable couple infernal. Entre mère et fille, en effet, pas d'atomes crochus. Jamais le courant n'est passé. Pour compenser, Miriam Whitelaw se lance dans les œuvres de bienfaisance. Par réaction, Olivia joue la carte de la révolte : pieds de nez à l'establishment, autodestruction systématique.

