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Daniel Puiboube
Les bonsaï et jardins miniatures
– Toutes les questions que vous vous posez au sujet des arbres nains: le choix des plantes, la bonne saison, l’équipement nécessaire, les mélanges terreux… – Toutes les recettes de micro-jardinage: taille et pincements, mise en forme de la ramure, exposition, transplantation… – Tous les soins: les principaux parasites, les dégâts physiologiques, l’effet des engrais… – Les bonsaï d’appartement: quelles espèces choisir et comment les cultiver. – Les jardins miniatures: pas japonais, mini-rocaille, forêt vosgienne, jardin-paysage, jardin miniature d’intérieur…
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David Copperfield
Lorsqu’en 1850, il publie David Copperfield, Charles Dickens offre à ses lecteurs son premier roman écrit à la première personne et, derrière le destin de son jeune héros, c’est aussi parfois le sien qu’on peut lire. Mais ce que racontent surtout les douloureuses premières années, le dur apprentissage de la vie dans une fabrique, puis la fuite et l’errance picaresque du jeune Copperfield, c’est l’histoire d’une formation, où le personnage se fait son propre biographe.
Moderato Cantabile
« Qu’est-ce que ça veut dire, moderato cantabile ? – Je ne sais pas. » Une leçon de piano, un enfant obstiné, une mère aimante, pas de plus simple expression de la vie tranquille d’une ville de province. Mais un cri soudain vient déchirer la trame, révélant sous la retenue de ce récit d’apparence classique une tension qui va croissant dans le silence jusqu’au paroxysme final. « Quand même, dit Anne Desbarèdes, tu pourrais t’en souvenir une fois pour toutes. Moderato, ça veut dire modéré, et cantabile, ça veut dire chantant, c’est facile. »
Les nuits de l’Ange bleu
Berlin à la fin des années vingt. On sort à peine du fossé bourbeux de l’inflation galopante et on ne peut encore imaginer que le gouffre du cauchemar à bottes est pour bientôt. Le présent est là, bien en chair, qui appelle toutes sortes de caresses. On se prend à rêver. La période semble propice à l’art … A l’art d’aimer aussi. On veut vivre. Il s’agit de jouir. Et c’est bien « Ouf, jouissons! » que se dit chaque jour Manfred von Klausenberg en jetant dans la recherche du plaisir le meilleur de lui-même.
Povchéri
« J’avais onze ans dans l’été 43. C’était la guerre. J’en ai donc soixante et onze en cet hiver 2003 et c’est encore la guerre. Pas la même ; la Troisième mondiale. Petit bonhomme en galoches soumis aux restrictions ou vieillard déambulant dans un couloir d’hôpital, c’est quand même toujours moi, Povchéri. Ceci est mon journal de début et de fin. Malgré tout, et dans l’ensemble, ce fut parfois rigolo de vivre. » Patrick Cauvin n’a pas son pareil pour rendre dans sa fraîcheur et sa vérité le monde de l’enfance. Et sa vision du monde « adulte », dans un futur qui s’approche dangereusement, est d’une force saisissante. Povchéri est un roman tendre, drôle, émouvant. Povchéri est un très grand Cauvin.