Robert Escarpit
Les contes de la Saint-Glinglin
Se revoir « à la Saint Glinglin « , manger « à la Bonne Franquette », prendre la « poudre d’Escampette »… Autant d’expressions étranges dont les récits drôles et savoureux de ce livre nous content l’origine… Et si la poudre du Père Limpinpin avait enchanté ces pages?
Rupture de stock
Vous aimerez aussi
Toujours joyeux ! Saint Dominique Savio
Cette courte vie de Dominique Savio (1942 – 1954) en 13 chapitres est le cadeau de communion par excellence : Dominique Savio fit très jeune sa première communion (à 7 ans) alors que traditionnellement elle était à 12 ans. C’est cette maturité spirituelle que l’on découvre au fur et à mesure du récit. La vie de Dominique touche car dès tout petit, il prit sa foi au sérieux, n’hésitant pas à la vivre à plein et à la partager autour de lui, se montrant auprès de ses camarades un véritable témoin du Christ et un leader dans le bien. Pie XII canonisa le jeune italien le 12 juin 1954 saint patron des jeunes.
La quête de Deltora (Cycle 1 – Vol. 7) – La vallée des Egarés
Dès 9 ans – Désormais, six des sept pierres précieuses brillent dans les médaillons de la Ceinture magique de Deltora. Mais Lief, Barda et Jasmine doivent trouver la dernière, le diamant afin de libérer le royaume de la tyrannie du Seigneur des ténèbres. Une ultime épreuve les attend : les brumes tourbillonnantes de la Vallée des Egarés. S’ils échouent, leur quête aura été vaine ! Si près du but… Pourtant un seul faux pas et les trois compagnons resteront à jamais prisonniers !
La marraine de guerre
A partir de 12 ans – Pendant la guerre de 14-18 un jeune poilu enfoncé jusqu’au cou dans sa tranchée boueuse et sanglante, ne garde le moral que grâce au courrier de sa marraine de guerre. Malgré la misère de ses camarades de feu, le jeune homme rêve de rencontrer celle-ci tout en redoutant cette visite qui lui enlèvera tout le mystère qui l’auréole.
« Chère Marie-Pierre,
Hier, mon bataillon est monté à l’assaut. Quelle misère de voir les camarades tomber à la renverse dans le boyau touchés avant même d’avoir eu le temps d’armer leur fusil! Il faut sauver sa peau, du moins le plus longtemps possible.
Votre pauvre poilu qui vous embrasse bien fort. Etienne ».