- Home
- >
- Psychologie
- >
- Les enfants sauvages
Lucien Malson
Les enfants sauvages
On appelle « enfants sauvages » de jeunes êtres que le sort a condamnés à vivre seuls et qui ont été, longuement, privés d’éducation. Pour la première fois un spécialiste de la psychologie sociale, Lucien Malson, expose la totalité des cas connus, les envisage d’un point de vue critique et en tire la leçon. Deux textes illustres – introuvables depuis la fin du XIXe siècle – font suite à l’analyse de Lucien Malson : les études de Jean Itard sur le « Sauvage de l’Aveyron ».
Vous aimerez aussi
Dom Casmurro
« Mes doigts frôlaient la nuque de la fillette ou ses épaules vêtues d’indienne, et c’était une sensation délicieuse. Mais enfin, bien malgré moi, les cheveux tiraient à leur fin, alors que je les aurais voulus interminables. (…) Si cela vous paraît emphatique, malheureux lecteur, c’est que jamais vous n’avez coiffé une fillette, jamais vous n’avez posé des mains d’adolescent sur la jeune tête d’une nymphe… Une nymphe ! Me voilà tout mythologique. » – Voulez-vous un roman séduisant ? Un humour fin ? Voulez-vous un chef-d’oeuvre de la littérature brésilienne ? Sans perdre un instant, plongez-vous dans Dom Casmurro. (Le Monde)
Le cercle bleu des Matarèse
Le Cercle bleu des Matarèse, c’est l’histoire de deux hommes, agents secrets exceptionnels. L’un est américain, Brandon Scofield, l’autre soviétique, Vasili Taleniekov. Ces deux vrais professionnels sont aussi des ennemis mortels car chacun a le cadavre d’un être aimé à reprocher à l’autre. Ils sont maintenant à la fin de leur carrière. Mais Taleniekov a découvert un complot effrayant une organisation, les Matarèse, qui finance des groupes terroristes. Personne ne connaît vraiment leur but, mais il faut les arrêter. Et les seuls qui en soient capables sont Brandon Scofield et Vasili Taleniekov, travaillant en équipe. Une course folle s’engage, qui nous conduira de la Corse à Boston, en passant par Leningrad, Londres et Rome. Le Cercle bleu des Matarèse, est un grand roman d’aventures modernes, rempli de péripéties et de surprises, par l’auteur de La Mémoire dans la peau.
Montand – La vie continue
Yves Montand, chanteur, acteur, homme politique, homme public, homme secret. Un homme tout simplement. Pour raconter cet homme-là, cette vie depuis les quartiers populaires de Marseille jusqu’à la soirée du 7 septembre 1982 où ce fils d’immigré italien chante et triomphe au Metropolitan Opera de New York, pour rendre compte d’un tel personnage, dans son épaisseur, dans sa profondeur, il fallait davantage que de simples connaissances biographiques, il fallait la clé de la mémoire et de la connaissance intime. Si Jorge Semprun a réussi ce pari – et ce portrait -, c’est parce qu’il connaît Montand depuis vingt ans et que, depuis vingt ans, de l’un à l’autre se sont tissés les liens rares de l’amitié.
Le Grand Meaulnes
À la fin du xixe siècle, par un froid dimanche de novembre, un garçon de quinze ans, François Seurel, qui habite auprès de ses parents instituteurs une longue maison rouge –l’école du village–, attend la venue d’Augustin que sa mère a décidé de mettre ici en pension pour qu’il suive le cours supérieur: l’arrivée du grand Meaulnes à Sainte-Agathe va bouleverser l’enfance finissante de François…
Lorsqu’en 1913 paraît le roman d’AlainFournier, bien des thèmes qu’il met en scène –saltimbanques, fêtes enfantines, domaines mystérieux– appartiennent à la littérature passée, et le lecteur songe à Nerval et à Sylvie. Mais en dépassant le réalisme du xixe siècle pour s’établir, entre aventure et nostalgie, aux frontières du merveilleux, il ouvre à un monde d’une sensibilité toujours frémissante, et qui n’a pas vieilli.