Adèle Bréau
Les jeux de garçons
Alors que la jeune et jolie factrice parisienne Providence Dupois s’apprête à partir en Afrique chercher ce qu’elle a de plus précieux au monde, un volcan islandais se réveille, paralysant l’ensemble du trafic aérien européen. D’aéroports en monastères, commence alors pour elle le plus haletant et le plus prodigieux des voyages.
L’amour donne des ailes. Êtes-vous prêt à vous envoler ?
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La fée carabine
Qui donc à Paris égorge les vieilles dames de Belleville et transforme les papys en junkies ? Tous les soupçons convergent vers Benjamin Malaussène, bouc émissaire de son état, dont la sympathique famille s’est enrichie de quelques membres. Les héros du précédent épisode, « Au bonheur des ogres, » sont là, avec quelques nouveaux venus: le doux inspecteur Pastor, la petite Verdun, l’inquiétant commissaire Coudrier, etc. Plus on est de fous… » On retrouve avec bonheur la petite tribu de papier, dont Daniel Pennac développe à plaisir les personnages. Les intrigues et les destins se croisent au fil d’un récit dont la trame policière offre prétexte à s’attarder sur l’atmosphère du quartier, à épingler les méchants, les sans scrupules, les pas humains, toujours sur le mode de l’humour léger.
Desproges est vivant
Pierre Desproges est parmi nous, plus vivant, plus indispensable que jamais. Ils sont venus saluer l’homme, l’humoriste, l’écrivain : les amis d’hier, tes admirateurs d’aujourd’hui, les dessinateurs, les écrivains. Ensuite, place à l’invité d’honneur : ce recueil est aussi une anthologie thématique, rigoureuse et roborative, où l’on trouvera quelques morceaux de bravoure célèbres (comme le fameux Peut-on rire de tout ? ), mais aussi des textes plus rares et parfois inédits, afin de découvrir, redécouvrir et faire découvrir inlassablement l’œuvre de Desproges, splendide leçon d’impertinence et de liberté.
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Si l’égalité des sexes demeure une nécessité sociale, politique et économique, elle a pourtant du mal à passer l’épreuve du quotidien. Qui, homme ou femme, ne s’est pas trouvé confronté à ces mille petits détails qui nous font penser que, définitivement, l’autre est si différent ? Pourquoi les hommes ne peuvent-ils pas répondre à une question quand ils lisent le journal ? Pourquoi demandent-ils toujours à leur femme où se trouve l’objet qu’ils cherchent alors qu’ils l’ont devant les yeux ? Pourquoi se plaignent-ils que les femmes ne sachent pas conduire ? Pourquoi les femmes n’ont pas le sens de l’orientation ? Pourquoi devinent-elles toujours qu’il leur ment ? Pourquoi cassent-elles la vaisselle quand elles sont en colère ? Pourquoi cette préférence des uns pour le sexe et des unes pour la tendresse ? Ou cette soi-disant insensibilité des uns et hypersensibilité des unes ? Toutes ces différences, et d’autres encore, vues par Allan et Barbara Pease, sont interprétées ici le plus sérieusement du monde mais raconté avec beaucoup d’humour. Ou comment rendre léger et hilarant l’éternel combat de la testostérone et de l’œstrogène.
Toine dans la tourmente
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Et revoilà le malicieux et souriant Toine Culot dans ces aventures pittoresques qui sentent bon le terroir wallon avec ses expressions savoureuses aux accents traînants, avec cette vie où le temps s’écoule au fil des saisons, à l’époque où le chant du coq rythmait encore le travail de nos villages.