Jean Montaldo
Les voyous de la république
» En janvier 2001, je fus plusieurs fois agressé sur des plateaux de télévision et dans la presse par un prince consort de l’ordre mitterrandien, un psy déséquilibré, gardien de ses seuls fantasmes. Répétées et aggravées sur d’autres antennes, ces attaques m’ont convaincu de la nécessité d’ouvrir plus grand les dossiers de la corruption et des crimes d’Etat, d’accélérer la rédaction de mes » Carnets secrets « . Confronté au mensonge et à la calomnie, le journaliste n’a qu’une arme : la vérité, toute la vérité. Méconnus du grand public, toujours impunis et dans l’ombre, voici » Les voyous de la République « , tels qu’en eux-mêmes, tels que je les ai découverts et parfois subis. À cause d’eux, des centaines de milliards d’argent public s’envolent, et les scandales sont de plus en plus dévastateurs. «
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