Alain Ayache
Lettres à Prunelle
Quatrième de couverture – « Prunelle, si tu savais… Il faut, pour vivre, ne pas se laisser vivre, mais vivre dans l’urgence, ne pas laisser le temps filer, glisser entre les doigts. Si tu cours, tu iras plus vite. Si tu marches, tu iras plus loin. Si tu cries, tu seras entendue. Si tu parles, tu seras écoutée.
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Paroles de parano
Je ne suis pas celui en qui je placerai ma confiance. Simplement prudent ou totalement psychotique, vous avez quelque raison de vous méfier des caméras de surveillance, portables et autres e-mails. Ne vous inquiétez pas : nous sommes tous paranos ! Paroles de parano, c’est une vingtaine de textes superbement illustrés par Stéphane Goddard qui vous rassureront : Amélie Nothomb, Rousseau, Molière, Queneau ou Stendhal se sont, eux aussi, senti observés voire persécutés.
Les marrons glacés
Natif de Saint-Louis au Sénégal, Samba Ndiaye a longtemps roulé sa bosse comme professeur de français et chevalier du micro en Algérie et dans sa patrie. Dans le cadre de l’écriture, il est détenteur du Grand Prix de poésie de la Maison africaine de la poésie internationale
En habile collectionneur de mots, l’auteur ressuscite superbement les mythes de l’enfance, de l’amour, de la beauté et du rêve… « Les marrons glacés » est un recueil peignant un univers pittoresque qui semble nous montrer les choses et les Hommes sous un autre jour.
Quatre chants
Nommé professeur d’histoire-géographie à Digne en 1961, Claude Braun est retraité depuis 1997. Il a publié de nombreux recueils de poésie et participé à un ouvrage collectif avec le Cercle des Auteurs de Haute Provence. Il participe à la revue « Le Moulin de Poésie » de Saintes et aux anthologies de « l’Atelier Poésie » de Cognac. Anime le Printemps des Poètes à Digne et organise, l’été, des sorties poésie avec l’Office de tourisme. Organise également des soirées poésie. Il habite à Digne, en Haute Provence.
Les limbes du cœur – Livre neuf
LIVRE NEUF – Le beau peut-il s’exprimer dans la souffrance ? De mal-être en amours désabusés, l’auteur trouve le chemin de la normalité des choses et expose ses états d’âme dans une écriture poétique libératrice. La douleur se révèle alors comme une émotion propre à l’être. Cette prise de conscience sera la première étape d’un retour à soi, qui lui permet de poser un regard nouveau sur sa vie. Elle lui permet également de fuir les faux-semblants et faire le deuil de ses illusions. Le cœur peut alors s’envoler vers ses limbes régénérateurs.

