Alain Ayache
Lettres à Prunelle
Quatrième de couverture – « Prunelle, si tu savais… Il faut, pour vivre, ne pas se laisser vivre, mais vivre dans l’urgence, ne pas laisser le temps filer, glisser entre les doigts. Si tu cours, tu iras plus vite. Si tu marches, tu iras plus loin. Si tu cries, tu seras entendue. Si tu parles, tu seras écoutée.
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Le Messager
Sur le port, une jeune femme croise la route d’Anaël, un voyant. Celui-ci lui raconte son itinéraire et lui confie sa vision, révélant les secrets de son étrange pouvoir. Sans savoir pourquoi, elle accepte de le suivre pour une traversée qui la conduira vers un monde où le réel et l’imaginaire se rejoignent, pour laisser place au merveilleux et à la légende. Cheminement intérieur, quête des origines et voyage initiatique…
Des rimes et des rames
Ce recueil de poèmes a été édité dans le cadre d’un concours organisé par La RATP et comprend tous les finalistes. Le poème « Autocritique » de Jean-Pierre Develle y figure. Cet auteur a publié des recueils de poèmes qui ont une caractéristique tragi-comique.
QU’EST-CE QUI NE VA PAS SUR TERRE ?
C’est le chat dit la souris
C’est le lion dit la gazelle
C’est le loup dit l’agneau
C’est l’homme dit l’homme.
(Jean-Pierre Develle)
Les poèmes de Tristan et Iseut (extraits)
L’histoire de Tristan et Iseut est un mythe littéraire, dont les poètes normands, auteurs des premières rédactions conservées de cette légende, ont situé l’action en Cornouailles, en Irlande et en Bretagne. Issue de la tradition orale, l’histoire populaire de Tristan et Iseut fait son entrée dans la littérature écrite au XIIème siècle. Plusieurs textes différents ont vu le jour, dont les célèbres versions de Béroul et de Thomas d’Angleterre, certains ont été perdus, comme celui de Chrétien de Troyes ; aucun de ceux qui nous sont parvenus n’est intégral.
La Divine Comédie
TEXTE INTEGRAL – La Divine Comédie n’est pas seulement le monument majestueux d’une culture passée : c’est un poème vivant qui nous touche de près, et qui sans cesse nous surprend. Car pour relater son périple à travers les trois royaumes des morts, Dante bouleverse les représentations traditionnelles, affronte l’indicible, crée une langue : sa hardiesse poétique préfigure celle des grands inventeurs de la modernité en littérature, de Rimbaud à Joyce, en passant par Kafka et Proust. Animé par une ambition folle – celle de rendre les hommes meilleurs et plus heureux, par la conscience du sort qui les attend après la mort -, il décrit tour à tour le gigantesque entonnoir de L’Enfer et ses damnés en proie à mille tourments ; la montagne du Purgatoire, intermédiaire entre l’humain et le divin, peuplé d’anges, d’artistes et de songes ; Le Paradis enfin où, guidé par Béatrice, le poète ébloui vole de ciel en ciel avant d’accéder à la vision divine. Et le parcours initiatique se termine lorsque, au plus haut terme de sa vision, le héros s’absorbe dans l’absolu. Dans «l’amour qui meut le soleil et les autres étoiles».