- Home
- >
- Épistolaire
- >
- Lettres choisies
Madame de Sévigné
Lettres choisies
Madame de Sévigné nous raconte son temps à travers les lettres qu’elle adressa à sa fille (deux tiers de ses lettres), ainsi qu’à divers personnages. Une chronique fort intéressante de la seconde moitié du XVIIe siècle. Vous sont proposées ici quatre-vingt neuf lettres parmi ses plus connues, dans l’édition de Saint-Beuve, publiée par Garnier Frères en 1923.
Vous aimerez aussi
Les Fourberies de Scapin
TEXTE INTEGRAL – Scapin, le valet italien, est fourbe. Il est menteur, voleur, hypocrite et perfide. Mais, à sa façon, il est aussi fidèle et courageux. Il lutte en permanence contre les injustices de son temps, celle par exemple qui empêche les amoureux de se marier librement. Voilà pourquoi ses jeunes maîtres lui confient leurs amours, voilà pourquoi il s’engage à les aider. Et quand Scapin donne sa parole, l’action se précipite. Toutes les ruses et toutes les inventions burlesques sont permises !
Edition annotée, commentée et illustrée. Dossiers sur l’auteur et l’oeuvre. Dictionnaire pour le commentaire. Regroupement de textes : « La farce à travers les âges »
Le Boucher
Une jeune étudiante aux beaux-arts, anorexique et vierge, fantasme sur son boucher. Il lui susurre les mots interdits et elle jouit en attendant l’amour et son dépucelage. Ce premier roman, récompensé par le prix Pierre Louÿs, conféra immédiatement à son auteur une place parmi les grands noms de la littérature érotique. La plume d’Alina Reyes fascine tour à tour par sa précision, sa poésie et son animalité.
Athalie
Athalie est la tragédie de Racine qui montre la plus sûre technique dramatique ; toutes les lois du théâtre y sont appliquées. Athalie règne depuis huit ans ; il faudra qu'en une journée, Joas, caché dans le temple, inconnu de tous, soit couronné, et Athalie condamnée à mort. Celle-ci, avertie par un songe, veut se faire livrer l'enfant. Le grand prêtre attire la reine dans un piège, le peuple se rallie à Joas, mais l'action ne connaît aucun temps mort.Cependant, c'est une pièce religieuse : la mythologie y prend la forme de l'Histoire Sainte, la fatalité devient providence divine.
J’vous ai apporté mes radios
Le revoilà, ça y est ! Plus besoin de s’enfermer dans les toilettes, portable coupé et poste de radio sur les genoux branché sur France Inter entre 12h15 et 12h35 pour retrouver le chouchou des auditeurs (et le nôtre !), Guy Carlier. Cette fois, il nous a « apporté ses radios ». Chroniques faites pour France Musiques ou pour l’émission du « Sept-neuf » de France Inter entre janvier et juin 2002, on retrouve ce qui fait le talent (génial) de Carlier : un humour décalé, humain, acide et grinçant selon qu’il s’attaque à un « jeune madeliniste » ou qu’il raconte Marguerite dans sa maison de retraite. Car Carlier, ne nous y trompons pas, est un tendre humaniste. Un bon, un gentil, un humain exigeant. Sa colère devant le cynisme de certains est à la hauteur de la poésie acide devant d’autres, plus fragiles. Certaines lettres sont de véritables nouvelles. Derrière toutes, il y a l’amour. Des autres, des femmes, de la vie. On croise Marianne Faithfull ou Pierre Boulez, on rit des paroles des chansons d’Obispo ou de Marc Lavoine, décortiquées par un Guy en grande forme. On pleure devant l’organiste monsieur Minois ou devant Yvette du café-tabac d’Argenteuil. Bref, on vit, on rit, on réfléchit. Et on découvre une plume véritable, touchante et une dédicace à son papa…