- Home
- >
- Spiritualité
- >
- L’évangile de la vie
Jean-Paul II
L’évangile de la vie
Dans cette encyclique, Evangelium Vitae, le Saint-Père remet en perspective tous les grands thèmes de la pensée de l’Eglise concernant la promotion et la défense de la vie humaine. Que ce soit pour la conception, la maternité, la naissance, la protection de l’enfant, le respect de la vie dans toute l’existence jusqu’à son terme, Jean-Paul II se fait ici le champion de la splendeur et de la prééminence absolue de la vie sur toutes les forces de mort. Cette réflexion grave et pleine d’affection, en particulier à l’égard des personnes en situation dramatique, (avortement, toxicomanie, sida, peine de mort, fin de vie), est une invitation puissante au courage, à la responsabilité, et plus encore à l’espérance.
Vous aimerez aussi
Journal 1833 – 1842 (Prince Ivan S. Gagarine)
Si le nom de Gagarine fait spontanément penser à un célèbre cosmonaute russe, il désigne ici une personnalité religieuse hors du commun à bien des égards. Prince russe, jeune diplomate promis à une brillante carrière, le prince Ivan Gagarine se convertit en 1842 au catholicisme et entre au noviciat des jésuites l’année suivante. En 1855, devenu le père Jean Gagarine, il commence à mettre en place la Bibliothèque slave de Paris, avec le souci de rapprocher la Russie orthodoxe et le catholicisme occidental. C’est dans cette perspective qu’il fonde en 1856 la revue Etudes, qui continue jusqu’à aujourd’hui et fait preuve d’un beau dynamisme. Son journal est édité pour la première fois en français dans sa version intégrale : marqué dans son écriture par l’époque romantique, il évoque à la fois son parcours de diplomate et son cheminement spirituel.
La vérité de Qumrân
Aucune découverte archéologique suscité dans les temps modernes pareille vague d’intérêt comme les manuscrits de Qumrân, cet ensemble unique de manuscrits bibliques découverts dans les années 1940 autour de la Mer Morte. Ces textes à la forte teneur apocalyptique ont, à mesure qu’ils ont été traduits et révélés au public, éveillé l’imagination de tous. C’est une double histoire que raconte ici Neil Asher Silberman : celle d’un petit peuple de la province de Judée, dont la religion farouchement nationaliste, centrée sur le Temple, se voyait cruellement combattue par les Romains ; et celle de la découverte, puis de la traduction au compte-goutte des manuscrits, jusqu’à ce que le New York Times fasse sa « une » sur le scandale du monopole exercé par une coterie de soi-disant spécialistes.
The political ideas of St Thomas Aquinas
En Anglais – St. Thomas Aquinas, the chief spokesman of medieval scholasticism, was born at Aquino, a tiny place near Naples and from the name of the place he received the title Aquinas. But he is better known as Thomas and his thought is known to us as Thomism. He belonged to an aristocratic Italian family which had connections with European kings and emperors. In order to be a church father and to devote his life to the cause of Christianity and study he surrendered his title “Count.” He joined the Dominican Order at the age of nineteen and for this purpose he had to fight his family. He studied in Naples, Cologne and Paris and in the last mentioned place he delivered several lectures on philosophy and theology. At the age of forty- eight he died.
Dialogues avec Lanza Del Vasto
René Doumerc, ami de longue date, interroge le maître et l’invite à synthétiser son vaste enseignement. Les questions posées sont pertinentes, les réponses apportent des compléments intéressants à l’œuvre publiée. Lanza avait relu ce texte, qui garde toute sa qualité d’écriture malgré le genre oral du livre. Ces pages donnent, de l’ensemble de l’œuvre, une image fidèle.