Eva Schloss, Evelyn Julia Kent
L’histoire d’Eva
Les mémoires de la demi-sœur d’Anne Frank. Un récit bouleversant.Le témoignage bouleversant de la demi-sœur d’Anne Frank Mai 1944. Le jour de ses 15 ans, Eva Schloss, une camarade d’Anne Frank, jeune juive réfugiée aux Pays-Bas comme elle, est découverte par les nazis dans sa cachette d’Amsterdam. Elle est envoyée à Auschwitz avec toute sa famille. Eva et sa mère réchapperont de l’enfer, son père et son frère n’en reviendront pas.
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Heydrich et la solution finale
La genèse de l'assassinat des Juifs par les nazis est complexe à reconstituer précisément. Quels en furent les artisans les plus actifs et les plus responsables ? Quelles furent les mesures prises, quand et comment furent-elles mises en place ? Quel rôle exact Reinhard Heydrich joua-t-il ? Mettant à bas les idées établies selon lesquelles la « solution finale » serait née d'une décision prise à la conférence de Wannsee en janvier 1942, l'ouvrage démontre que, dès l'entrée en URSS, la mise à mort des Juifs devint systématique et immédiate. Reinhard Heydrich fut alors le coordonnateur et le technocrate qui mit en place l'organisation permettant l'extermination massive des Juifs d'Europe par un système qui lui survécut.
Honoï, capitale de la survie
La guerre du Viêt Nam (également appelée deuxième guerre d’Indochine) est une guerre qui oppose, de 1955 à 1975, d’une part la République démocratique du Viêt Nam (ou Nord-Viêt Nam) avec son armée populaire vietnamienne, soutenue matériellement par le bloc de l’Est et la Chine — et le Front national de libération du Sud Viêt Nam (dit Viet Cong), et d’autre part la République du Viêt Nam (ou Sud-Viêt Nam), militairement soutenue par l’armée des États-Unis appuyée par plusieurs alliés (Australie, Corée du Sud, Thaïlande, Philippines).
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Dix jours qui ébranlèrent le monde de l’Américain John Reed (1887-1920) retrace avec une intensité et une vigueur extraordinaires les premières journées de la révolution russe d’Octobre 1917. John Reed parcourt en toute liberté Petrograd, la « capitale rouge », recueille les analyses des principaux acteurs politiques et écoute le peuple de Petrograd dans les cercles qui se formaient sur les places publiques, à la porte des boulangeries, à l’intérieur des casernes. Plus qu’une simple énumération des faits ou un recueil de documents, John Reed propose une série de scènes vécues, des tableaux pris sur le vif. De retour aux États-Unis, il rassemble l’essentiel de ses observations et revit, dans l’urgence, cette aventure humaine dont il apparaît encore aujourd’hui comme l’un des témoins les plus proches.