- Home
- >
- Spiritualité
- >
- L’influence chrétienne dans la République
Jean-Marie Rouart, Fondation Singer-Polignac
L’influence chrétienne dans la République
L’influence chrétienne dans la République : actes du colloque [organisé] par la Fondation Singer-Polignac, Paris, le 10 décembre 2003Fondation Singer-Polignac
Actes du colloque – Paris – Décembre 2003
Par Jean-Paul Clément, Alain Larcan, Philippe Levillain, Thierry Lévy, René Rémond, Mgr Hippolyte Simon, Paul Thibaud, Henri Tincq
Vous aimerez aussi
Dialogues avec Lanza Del Vasto
René Doumerc, ami de longue date, interroge le maître et l’invite à synthétiser son vaste enseignement. Les questions posées sont pertinentes, les réponses apportent des compléments intéressants à l’œuvre publiée. Lanza avait relu ce texte, qui garde toute sa qualité d’écriture malgré le genre oral du livre. Ces pages donnent, de l’ensemble de l’œuvre, une image fidèle.
Journal 1833 – 1842 (Prince Ivan S. Gagarine)
Si le nom de Gagarine fait spontanément penser à un célèbre cosmonaute russe, il désigne ici une personnalité religieuse hors du commun à bien des égards. Prince russe, jeune diplomate promis à une brillante carrière, le prince Ivan Gagarine se convertit en 1842 au catholicisme et entre au noviciat des jésuites l’année suivante. En 1855, devenu le père Jean Gagarine, il commence à mettre en place la Bibliothèque slave de Paris, avec le souci de rapprocher la Russie orthodoxe et le catholicisme occidental. C’est dans cette perspective qu’il fonde en 1856 la revue Etudes, qui continue jusqu’à aujourd’hui et fait preuve d’un beau dynamisme. Son journal est édité pour la première fois en français dans sa version intégrale : marqué dans son écriture par l’époque romantique, il évoque à la fois son parcours de diplomate et son cheminement spirituel.
Lettre ouverte à la secte des adversaires des sectes
« De nombreux livres à sensation sont disponibles en librairie. Beaucoup d’entre eux sont consacrés à un mythe très ancien et toujours vivace : celui du Grand Complot, de la Conjuration, du Plan secret universel. Les Juifs, les Francs-Maçons, les Jésuites, les communistes ont eu dans ce domaine leur heure de gloire mais sont plutôt démodés. Le vrai péril du jour, celui qui fera trembler dans les chaumières, le maléfique complot, la sombre menace universelle (…) a pour nom les sectes. Si le doute vous a effleuré un jour, si l’hystérie anti-secte vous semble tout compte fait moins naturelle qu’il n’y paraît ou animé par des motivations pas toujours innocentes, si l’insondable crédulité humaine vous semble parfois présente tant dans les religions que dans les sectes et vous éprouvez quelques difficultés à distinguer les unes des autres, alors votre cas n’est pas désespéré. Accrochez-vous aux pages qui suivent … J’espère arracher au moins quelques lecteurs aux griffes de la secte des adversaires des sectes…
Rome n’est plus dans Rome, elle est toute où je suis
Y a-t-il 2 églises ? Et qu’est-ce qu’au juste qui les sépare ? La rupture porte-t-elle sur le fond ou sur la forme ? S’agit-il de soutanes ou bien de dogmes et de morale ? Des évêques onanistes et avorteurs auraient-ils trahi l’Évangile ? L’auteur organise sagement, méthodiquement, scrupuleusement sa réponse autour de documents capitaux : cités ou ressuscités, ils bouleversent les certitudes paresseuses, font sursauter les consciences tranquilles, violentent les âmes assoupies, dans une lumière originale de piété et d’insolence qui ne laisse indifférent ni croyant ni mécréant.