Hardie Gramatky
Little toot
Almost new book
Little Toot is a 1939 children’s picture book written and illustrated by Hardie Gramatky. It features Little Toot, a small young tugboat in New York Harbor who does not want to tug. Instead, he would rather play, making figure eights in the harbor and thus being a nuisance to all the other tugboats. But when he ends up all alone on the open ocean as a storm is rolling in, it is up to him to save a grounded ocean liner.
Vous aimerez aussi
Le joyeux requiem
De 8 à 11 ans – Quelle différence y a-t-il entre un pirate et un corsaire ? Pour Donatien, la question est sans grande importance. Ce qu’il voudrait surtout savoir, c’est pourquoi des marins aux mines patibulaires l’ont enlevé, et quand est-ce qu’ils voudront bien le rendre à ses parents. Cela dit, la vie quotidienne ne manque pas d’agréments,
dans la mer des Antilles, à bord de ce Joyeux Requiem qui attaque les galions espagnols…
Le Vol du Mirétoiles
Où s’achève le périple d’Alexa, la petite fille promise à un fabuleux destin. À la fin du volume précédent, on a laissé Alexa, en compagnie de son ami Yipes, à bord du Warwick Beacon. Roland Warwold, le capitaine, les emmène vers les Cinq Piliers de Pierre, royaume des Enfants Perdus. Ces enfants , on s’en souvient, ont été sauvés par Armon, le bon géant, des griffes d’Abaddon, l’esprit du mal. Abaddon que l’on croyait détruit. Or, il s’est mué en un gigantesque monstre marin. Alors que le Warwick Beacon approche des Cinq Piliers de Pierre, le monstre attaque, le bateau coule. Quand Alexa reprend connaissance, elle se croit seule au monde, sans espoir de regagner un jour la Terre d’Elyon. Si les habitants des Piliers de Pierre l’ont sauvée, elle subit leur animosité : n’a-t-elle pas attiré un monstre dans son sillage ? N’est-elle pas responsable de la mort de Roland, qui veillait sur cette communauté ? Pourtant, Alexa se fait de nouveaux amis.
La marraine de guerre
A partir de 12 ans – Pendant la guerre de 14-18 un jeune poilu enfoncé jusqu’au cou dans sa tranchée boueuse et sanglante, ne garde le moral que grâce au courrier de sa marraine de guerre. Malgré la misère de ses camarades de feu, le jeune homme rêve de rencontrer celle-ci tout en redoutant cette visite qui lui enlèvera tout le mystère qui l’auréole.
« Chère Marie-Pierre,
Hier, mon bataillon est monté à l’assaut. Quelle misère de voir les camarades tomber à la renverse dans le boyau touchés avant même d’avoir eu le temps d’armer leur fusil! Il faut sauver sa peau, du moins le plus longtemps possible.
Votre pauvre poilu qui vous embrasse bien fort. Etienne ».
L’année de la grande peste (Journal d’Alice Paynton)
Tante Nell est revenue toute pâle du marché. Elle a entendu deux hommes discuter des listes hebdomadaires qui recensaient les victimes. Il paraît que la semaine dernière, sept cents personnes sont mortes de la maladie. La peste s’est donc bel et bien installée à Londres. Une longue discussion a eu lieu à la maison, et je vais devoir partir pour Woolwich avec tante Nell. J’ai refusé de m’en aller sans mon chien et Papa a cédé. Au moins Poppet apportera un peu de joie à la ferme. On m’a envoyée me renseigner sur les horaires de départ des péniches, mais quelque chose m’a arrêtée en chemin : une croix rouge était peinte sur une porte de la rue voisine. Au-dessus de la croix était écrit : “Dieu aie pitié de nous.”»