Gérard Marie Henry
L’OMC
La mondialisation et la libéralisation des échanges sont soumises à des critiques multiples de la part de groupes de pression qui veulent défendre les « victimes du capitalisme », Faut-il admettre le caractère inéluctable du nouveau protectionnisme alors que c’est à l’ouverture des échanges que les pays développés doivent leur prospérité et qu’il faudrait tout faire pour que les pays en développement suivent la même voie ?
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Toujours plus !
Au nom de l’égalité, les 54 millions de Français se proclament tous défavorisés et réclament plus d’argent mais aussi plus de droits, d’avantages, de loisirs et de garanties. « Toujours plus ! » Au terme d’une enquête sans précédent, François de Closets dresse le nouveau palmarès des inégalités révélant les Français qui jouissent des plus hauts revenus, mais également ceux qui bénéficient de la sécurité de l’emploi, des rentes de situation, des privilèges fiscaux, des positions de monopole, du travail agréable, du temps libre, des protections renforcées, des promotions assurées, des avantages en nature, des statuts confortables et des primes généreuses.
Ainsi est mise en évidence l’existence d’une France à l’abri de la crise, une véritable « privilégiature » qui englobe tout à la fois riches héritiers, opulents notaires, gros céréaliers et, plus modestes, les salariés des banques, d’E.D.F. ou des grandes entreprises.
A l’opposé de ces puissantes corporations se trouve la France faible et inorganisée, celle des petits patrons, des ouvriers, des travailleurs précaires ou sans emplois. Ahurissant contraste !
Un siècle de progrès social sépare le personnel douillettement installé dans les caisses d’épargne ou au {Journal officiel} et les travailleurs misérables du nettoyage ou de l’habillement.
Preuves à l’appui, chiffres en main, c’est la coupure en deux de notre société qui est ici dénoncée.
Au-delà du simple constat, Toujours plus ! pose les nouvelles règles du jeu entre les Français, celles qu’aucun gouvernement n’a encore eu le courage d’énoncer. En conclusion l’auteur propose une « société à la carte » qui, rejetant les guerres de religion, permettrait à chacun de choisir son destin.
L’auteur analyse quatre chocs majeurs susceptibles d’intervenir dans un avenir proche: énergétique, financier, démographique et alimentaire, géopolitique. Chacun d’entre eux aura des conséquences importantes sur les grands équilibres mondiaux, d’autant que leur caractère cumulatif et combinatoire devrait en accroître les impacts. La gestion, et en particulier l’anticipation de ces chocs, sera donc déterminante pour éviter les crises, économique et financière, et maintenir la paix dans le monde. À partir de ces diverses hypothèses, l’auteur établit onze scénarios pour l’avenir, du plus sombre au plus optimiste. Dans un tel contexte, il affirme sa préférence pour le modèle de l’Union européenne, qui, malgré les difficultés, ferait de la rigueur économique la condition nécessaire à l’expansion des valeurs de liberté et du « rêve européen ». En fonction de sa vision personnelle, chaque lecteur pourra cependant estimer quel est le scénario le plus probable
La bourse ou la vie
Mise en perspective du phénomène de la mondialisation, de l’offensive néo-libérale, de la crise de la dette du tiers monde. Concentration du capital. Un voyage dans la finance mondiale. Une analyse du couple Banque mondiale / Fonds monétaire international et des politiques d’ajustement structurel qu’il impose. Cas de l’Argentine, du Mexique, de l’Algérie, du Rwanda. Des propositions d’alternatives à débattre et à mettre en oeuvre. Une mise en évidence des résistances à l’offensive néo-libérale.
Monnaies du monde entier – De 650 av. J.C. à nos jours
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Il n’existait avant celui-ci aucun ouvrage français » grand public » sur l’histoire de nos monnaies. On ne trouvait, dans le commerce spécialisé, que des monographies érudites, des catalogues scientifiques ou des » argus » pour collectionneurs. La carence de l’édition française était totale en ce qui concerne les ouvrages de vulgarisation intelligente. L’objectif était de combler une lacune et de faire connaître les monnaies du sol de France, depuis l’avènement de la monarchie capétienne jusqu’à l’instauration du franc germinal. La monnaie est un miroir à plusieurs faces, reflétant à la fois l’évolution artistique, culturelle, économique, financière ou politique d’un pays. D’où le sous-titre de l’album. Pour retenir l’intérêt non seulement des numismates, mais des amateurs d’art et d’histoire, on a privilégié une iconographie aussi riche et représentative que possible. Issues des collections encore inédites de l’Administration des Monnaies et Médailles, les monnaies n’occupent qu’une partie des 230 illustrations. En regard des monnaies figure systématiquement une belle iconographie représentant la vie des Français à l’époque correspondante.