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J.P. Gourmelen, A.H. Palacios
Mac Coy – Le triomphe de Mac Coy
Alexis Mac Coy porte l’uniforme gris de l’armée des Confédérés. Fait prisonnier par les nordistes, il est réhabilité à la fin de la guerre et, en raison de son courage, nommé sergent-major à Fort Apache où il retrouve son vieux copain Charley. Mac Coy fait la guerre, se conduit parfois en héros, mais ce qu’il préfère finalement, c’est siroter une bonne bouteille au calme. Il tente toujours d’entamer le dialogue plutôt que de foncer tête baissée et d’obéir aveuglement aux ordres. Avec son visage de jeune premier, le lieutenant Mac Coy est un personnage très nuancé. C’est dans le mensuel LUCKY LUKE que sont publiées pour la première fois les aventures de Mac Coy (1974) avant de paraître dans TINTIN, PILOTE et CHARLIE MENSUEL.
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Mandala
C’est dans le cadre de l’Inde moderne que Pearl Buck a situé ce roman ; l’histoire d’une famille princière, dépouillée d’une grande partie de sa fortune par les évènements politiques, et qui s’efforce de s’adapter aux conditions nouvelles, malgré le poids de ses traditions sociales et religieuses. L’évolution de l’Inde actuelle, la guerre la Chine, la confrontation permanente avec l’occident et les problèmes religieux s’associent pour faire de ce roman un document dans lequel convergent les problèmes de notre temps.
Lettre ouverture à tout le monde
On connaît mon impatience et mon esprit prophétique : il y aura bientôt de cela une bonne dizaine d’années que je prêchai dans le désert une Parole tout à fait incongrue. J’osais « attaquer » le Monde ! Mes amis tremblèrent pour mon courage. Mes non-amis se réjouirent de mon suicide. Comme j’ai, dans le crime, l’esprit de récidive, je décidai de batifoler autour du Monde et de planter à cet animal d’amusantes banderilles. Comment ? Eh bien en écrivant des lettres à n’importe qui (au Roi d’Espagne, à des petites filles, au Pape, à ma concierge, etc.) en prenant bien soin de jouer les obsédés et d’avoir un leitmotiv présent dans toutes mes lettres et qui serait le journal le Monde. Comme un bonheur n’arrive jamais seul, j’en avais depuis trois mois terminé avec mon exercice et déjà déposé mes fléchettes chez mon éditeur, lorsque Michel Legris expédia sur l’orgueilleux vaisseau amiral de la presse française une héroïque salve (le Monde tel qu’il est) qui sema la panique sur le pont et fit trembler ses mâtures. Partout, dès lors, ce fut comme un grand soupir et l’on entendit même des applaudissements. Enfin le Monde était secoué. Enfin Le Monde vulnéré n’était pas invulnérable. Enfin le désert ou je prêchais naguère se peuplait. Il ne me restait plus qu’à rappliquer avec mes « lettres » et qu’à danser, comme un garnement, autour du Leviathan blessé. Voici mes entrechats et mes pointes. Je danse mon époque, ses mœurs, ses mines, ses modes et ses manies en m’amusant à toujours retomber sur mes pieds. Ou, plutôt, vieil obsédé que je suis, sur les pieds du Monde. Jean Cau.
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La section Méta, organisme secret contrôlé directement par le président des États-Unis, a élaboré un gigantesque système anti-missiles capable de révolutionner la défense de l’Amérique, et donc de bouleverser la face du monde. Seul petit problème, le « projet Sicile » a pour principal ingrédient un minerai rarissime, le byzanium, dont on ne connaît qu’un unique gisement, exploité en Sibérie jusque dans les années 1910. Or, il s’avère que le seul stock disponible a en réalité été embarqué sur le Titanic et devrait donc logiquement reposer par 3 600 mètres de fond dans les abysses de l’Atlantique Nord. Dirk Pitt et son équipe d’océanographes, de techniciens et d’aventuriers vont donc se retrouver confrontés à cet ordre insensé de la présidence : « Renflouez le Titanic ! ». Très vite, ils vont être en proie à de graves dangers : un ouragan d’une violence encore jamais constatée menace le projet fou, mais moins sans doute que l’agressivité armée des Russes, pas vraiment disposés à laisser leurs ennemis héréditaires se fabriquer un bouclier rendant les forces rouges inopérantes… Le texte original datant de 1976, on pourra éventuellement pardonner à l’auteur les tirades anti-communistes des plus primaires et lui faire crédit d’avoir eu l’idée du bouclier anti-missiles près de dix ans avant Ronald Reagan… Troisième volet des aventures du désormais célèbre Dirk Pitt après Mayday ! et Iceberg, l’intrigue abrite une importante dose d’aventure et de suspense, fait appel à quelques substances n’ayant jamais existé (comme le byzanium et l’aquacier censé colmater les brèches du Titanic), met en scène espions et commandos

