- Home
- >
- Langue étrangère
- >
- Man of the triple name
John Brendan Keane
Man of the triple name
En anglais – « There is a wild animal after descending from the mountains and it is the man of the triple name, Dan Paddy Andy ». // With these words and many more Archdeacon Nrowne denounced the last of the great Irish matchmakers, whose « ballrooms of romance » offered relief from grinding poverty and suffocating religiosity. Dan Paddy Andy’s character and times, his wit and escapades, are magnificently described by the author. …
Vous aimerez aussi
Les plus grands escrocs du monde
Histoires des plus grands escrocs et arnaqueurs du monde.
Le nom de l’arbre
Dans l’enfance, entre un grand-père tout-puissant et une mère possessive, Louis Quien a tenté de se frayer un chemin. Mais de quels souvenirs, de quels mensonges, de quels imaginaires a-t-il finalement hérité pour construire le présent si fragile qu’il interpelle aujourd’hui ? Comme s’il était étranger à lui-même, Louis Quien se traque, se dévoile et, dans le maquis de sa mémoire, il cherche les grands absents de sa vie : son père prisonnier et Juliette, l’absolu féminin, déportée, et si vite effacée. Ainsi s’impose à lui, au-delà des misères de l’Occupation, des espérances et des vengeances de l’après-guerre, la recherche de l’arbre dont les racines descendent si profond et dont nous aimerions tant retrouver le nom. Tout en traversant l’histoire tourmentée de la Belgique des années trente aux années soixante, ce foisonnant roman révèle le pouvoir des mots et de la fiction dans la remémoration. A travers un jeu de miroirs, où le moi s’éparpille et se reconstruit sans fin, Hubert Nyssen mettait déjà en place, dans ce premier roman, les éléments constitutifs de son œuvre : cette ample quête du passé, et surtout cette fête de l’imaginaire que sans cesse célèbre la multitude de poupées gigognes que chacun porte en soi.
Isabelle, petite sœur des années folles
C’est une histoire de terroir et d’enfance. Quelque chose de simple ; ou presque tout est inventé. C’est en fait une histoire d’amour entre des enfants que la vie puis la guerre s’amusent à séparer, et d’amour pour un terroir aussi. Le point de départ se situe « sur le chemin de l’école », dans le village même où il a grandi. La Vienne restera le cadre des épisodes suivants. « Un été à la ferme » sera la 2ème partie, alors que la guerre plante le décor de leur adolescence. Le départ du garçon pour le maquis Joël, « la résistance », sera la 3ème partie ; puis son retour enfin. On ne démélera pas le vrai de l’imaginaire dans cette prose simple et sensible. Son titre « Isabelle, petite sœur des années folles, entretient après tout le sytère d’une relation qu’on sent encore vivante.
Dans la chambre obscure
Savitri la bien nommée – épouse modèle dans la mythologie indienne – veille patiemment sur son foyer. Elle a pourtant l’audace, quand elle est trop lasse des accès d’humeur de son mari, de se réfugier dans le silence de sa « chambre obscure » une pièce en retrait de la maison. Jusqu’au jour où il cède aux charmes d’une de ses employées. Savitri comprend alors qu’elle n’a rien à elle, pas même cette chambre à soi… Ce qui emporte et émeut tant chez Narayan tient à un talent très singulier qui nous met en immédiate et délicate intimité avec des personnages simples, puissants, inoubliables. Par-delà la chronique familiale dans l’Inde des années trente, « Dans la chambre obscure » est – tout simplement – le sublime portrait d’une femme qui se révolte.