- Home
- >
- Langue étrangère
- >
- Man of the triple name
John Brendan Keane
Man of the triple name
En anglais – « There is a wild animal after descending from the mountains and it is the man of the triple name, Dan Paddy Andy ». // With these words and many more Archdeacon Nrowne denounced the last of the great Irish matchmakers, whose « ballrooms of romance » offered relief from grinding poverty and suffocating religiosity. Dan Paddy Andy’s character and times, his wit and escapades, are magnificently described by the author. …
Vous aimerez aussi
Isabelle, petite sœur des années folles
C’est une histoire de terroir et d’enfance. Quelque chose de simple ; ou presque tout est inventé. C’est en fait une histoire d’amour entre des enfants que la vie puis la guerre s’amusent à séparer, et d’amour pour un terroir aussi. Le point de départ se situe « sur le chemin de l’école », dans le village même où il a grandi. La Vienne restera le cadre des épisodes suivants. « Un été à la ferme » sera la 2ème partie, alors que la guerre plante le décor de leur adolescence. Le départ du garçon pour le maquis Joël, « la résistance », sera la 3ème partie ; puis son retour enfin. On ne démélera pas le vrai de l’imaginaire dans cette prose simple et sensible. Son titre « Isabelle, petite sœur des années folles, entretient après tout le sytère d’une relation qu’on sent encore vivante.
Le dernier rivage
La découverte de l’énergie nucléaire est peut-être un des plus beaux fleurons de la science moderne, mais son utilisation pour fabriquer des bombes en constitue le plus grand danger. Chaque pays rêve de posséder H l’arme absolue » dans l’espoir de terroriser suffisamment ses voisins pour qu’ils n’aient pas à sen servir : telle est la théorie de la dissuasion, qui fait fond imprudemment sur notre sagesse. Les réactions en chaîne se produisent en politique aussi bien qu’en physique et il y a des fous partout. Qu’un petit pays lance la première bombe, les autres suivront. C’est ce qu’imagine Nevil Shute dans Le Dernier Rivage. En moins d’une semaine, toute vie disparaît dans un nuage de Poussière radioactive dans l’hémisphère Nord. On pourrait s’imaginer que cette poussière va se stabiliser. C’est compter sans les vents qui 1 entraînent irrésistiblement vers l’hémisphère Sud : dans six mois au plus, l’Australie sera le dernier rivage à succomber…
Henri IV, le passionné
Henri IV, a écrit lui-même à son sujet : « Les uns me blâment d’aimer trop les bâtiments et les riches ouvrages; les autres la chasse, les chiens et les oiseaux; les autres les cartes, les dés et autres sortes de jeux; les autres les dames et les délices de l’amour: les autres les festins, banquets et friandises; les autres les assemblées, comédies, bals, danses et courses de bagues… Mais aussi dirai-je que, ne passant pas la mesure, tout cela me devrait plutôt être dit à louange qu’à blâme! « D’ailleurs, je ferai voir à ces gens que je quitterais maîtresses, amours, chiens, oiseaux, brelans, bâtiments, festins, banquets et toutes autres dépenses de plaisir et de passe-temps, plutôt que je perde la moindre occasion et opportunité pour acquérir honneur et gloire. » Lorsque la nouvelle de sa mort tomba sur Paris, nous dit un témoin, elle éteignit « la lumière du plus grand roi de la terre et le meilleur ». En province, sur les chemins, des paysans hagards, les bras croisés, guettaient courriers et voyageurs susceptibles de leur donner quelques détails sur la « désastreuse nouvelle ». Lorsqu’ils apprirent que le « père du peuple n’était plus, ils se répandirent à travers champs, « comme brebis sans pasteur, ne pleurant pas seulement, mais criant et bramant comme forcenés ». Selon son habitude, André Castelot s’est rendu sur place afin de faire revivre celui qui fut peut-être le plus grand roi de notre Histoire et dont l’existence forme un extraordinaire roman.
Louison ou l’heure exquise
Voilà un roman qui porte à merveille son titre : tout y est en effet exquis, pétillant, léger et frivole avec grâce. Dans une langue aussi déliée que la taille de son héroïne, Fanny Deschamps nous livre les premiers émois de Louison, la bâtarde du duc de Conti, ses premiers pas dans la vie, ses faux pas aussi, quelques années avant la Révolution française, dans le bruissement de la soie et l'éclat des perles.