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Miguel-Angel Prado, Fernando Luna
Manuel Montano
Bande Dessinée en état quasi-neuf – Apparu pour la première fois en août 1988 dans les pages du mensuel (À Suivre), Manuel Montano, détective privé de son état, apparaît comme un improbable croisement entre Humphrey Bogart et Buster Keaton – sans oublier un soupçon de Jack Palmer pour la poisse et la déveine. L’imper mastic trop grand pour lui, le sourire en berne et l’énergie à plat : le moins qu’on puisse dire est que Manuel Montano, avec son scooter fatigué et ses méthodes qui ne le sont pas moins, ne donne pas l’impression d’être un aigle… Et pourtant, au fil de la demi-douzaine d’enquêtes qui composent ce recueil, on se prend d’affection pour cet éternel maladroit si peu efficace et tellement humain. Et si Manuel, finalement, était un peu le reflet de chacun d’entre nous ?
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Bande Dessinée en état quasi-neuf – Printemps 1943, sud-est de la France. Martin est revenu occuper son poste d’officier allemand après être allé enterrer son père en Allemagne. Très vite, il cherche à retrouver Katarina, devenue Catherine. Mais celle-ci a quitté les lieux pour Lyon, où elle a rejoint André-Louis, passé depuis peu dans la clandestinité. Tandis que Martin s’interroge sur son avenir – on soupçonne un général récemment arrivé de Berlin de vouloir réduire les effectifs de la Wehrmacht en France pour renforcer le front de l’Est -, Catherine saute le pas et décide de s’engager dans la Résistance… » 1932. L’Allemagne traversait une crise sans précédent. Mon père, comme de nombreux compatriotes, voyait en Hitler le seul homme capable de la redresser. Je désapprouvais en silence… C’est à cette époque que Katarina vint habiter en face de chez nous. Je découvrais des sentiments inconnus jusqu’alors… Les choses auraient pu être simples, s’il n’y avait eu ma timidité et, surtout, l’arrivée des Nazis au pouvoir… »