- Home
- >
- Bande dessinée
- >
- Manuel Montano
Miguel-Angel Prado, Fernando Luna
Manuel Montano
Bande Dessinée en état quasi-neuf – Apparu pour la première fois en août 1988 dans les pages du mensuel (À Suivre), Manuel Montano, détective privé de son état, apparaît comme un improbable croisement entre Humphrey Bogart et Buster Keaton – sans oublier un soupçon de Jack Palmer pour la poisse et la déveine. L’imper mastic trop grand pour lui, le sourire en berne et l’énergie à plat : le moins qu’on puisse dire est que Manuel Montano, avec son scooter fatigué et ses méthodes qui ne le sont pas moins, ne donne pas l’impression d’être un aigle… Et pourtant, au fil de la demi-douzaine d’enquêtes qui composent ce recueil, on se prend d’affection pour cet éternel maladroit si peu efficace et tellement humain. Et si Manuel, finalement, était un peu le reflet de chacun d’entre nous ?
Vous aimerez aussi
Le pianiste déchaîné
« Ilium, Etat de New-York, est divisé en trois parties: au nord-ouest résident les administrateurs, les ingénieurs, les fonctionnaires et quelques membres des professions libérales; au nord-est, il y a les machines; et au sud, de l’autre côté de l’Iroquois, s’étend la zone connue là-bas sous le nom de Homestead, où vivent la plupart des gens. Et maintenant , voici les premières notes de » Halte à la société industrielle » , une composition célèbre des années 80 ou 90. Peu importe : vous êtes dans le très proche avenir , à Illium , Etat de New York . Une cité charmante divisée en 3 districts : un pour les administrateurs , ingénieurs et fonctionnaires . Un autre pour les machines. Et un troisième pour les gens. Les gens , tout simplement , ceux qui font semblant de travailler , parce que c’est leur devoir ( seules les machines travaillent ) . Les gens font semblant d’appartenir à une armée artificielle que ne justifie pas la moindre petite guerre. Les gens . Les « Recons » ( reconstruction ) et les » Récus » ( récupération ). N’essayez pas de vous reconnaître en eux : ce serait trop navrant.
Amours Fragiles – 5 – Résistance
Bande Dessinée en état quasi-neuf – Printemps 1943, sud-est de la France. Martin est revenu occuper son poste d’officier allemand après être allé enterrer son père en Allemagne. Très vite, il cherche à retrouver Katarina, devenue Catherine. Mais celle-ci a quitté les lieux pour Lyon, où elle a rejoint André-Louis, passé depuis peu dans la clandestinité. Tandis que Martin s’interroge sur son avenir – on soupçonne un général récemment arrivé de Berlin de vouloir réduire les effectifs de la Wehrmacht en France pour renforcer le front de l’Est -, Catherine saute le pas et décide de s’engager dans la Résistance… » 1932. L’Allemagne traversait une crise sans précédent. Mon père, comme de nombreux compatriotes, voyait en Hitler le seul homme capable de la redresser. Je désapprouvais en silence… C’est à cette époque que Katarina vint habiter en face de chez nous. Je découvrais des sentiments inconnus jusqu’alors… Les choses auraient pu être simples, s’il n’y avait eu ma timidité et, surtout, l’arrivée des Nazis au pouvoir… »
Mission 13 – Le clan aramov
Après huit longs mois d’attente, Ryan se voit enfin confier sa première mission CHERUB. Sa cible : Ethan, un jeune Californien privilégié passionné par l’informatique et le jeu d’échecs. Le profil type du souffre-douleur idéal… sauf que sa grand-mère dirige le plus puissant syndicat du crime du Kirghizstan. Si Ryan espérait profiter de cette opération pour bronzer sous le soleil californien, il déchantera bien vite.
Sang royal
York, 1541. Aux portes de la ville, quatre têtes coupées sur des piques, font le régal des corbeaux. C’est la réponse, royale et sanglante, à la conspiration papiste. Bientôt, le roi lui-même viendra mettre un terme, par sa seule présence, aux troubles de la province. D’ici là, Matthew Shardlake, avocat à la Cour, assurera la protection du meneur catholique, le bouillant Broderick, jusqu’à son transfert à Londres où l’hérétique sera remis aux questionneurs de la Tour… Quel entêtement dans son silence ! Très vite, Shardlake devine que la rébellion du Yorkshire menace bien moins l’unité religieuse du pays que la légitimité de la Couronne. Connaissant Henri VIII, dont la cruauté proverbiale a souillé le nom des Tudor, l’avocat se sait lui-même en grand danger.