- Home
- >
- Langue étrangère
- >
- Memoirs of a Geisha
Arthur Golden
Memoirs of a Geisha
A literary sensation and runaway bestseller, this brilliant novel presents with seamless authenticity and exquisite lyricism the true confessions of one of Japan’s most celebrated geisha.
In « Memoirs of a Geisha, » we enter a world where appearances are paramount; where a girl’s virginity is auctioned to the highest bidder; where women are trained to beguile the most powerful men; and where love is scorned as illusion. It is a unique and triumphant work of fiction – at once romantic, erotic, suspenseful – and completely unforgettable.
Vous aimerez aussi
Le médecin malgré lui
Sganarelle, le faiseur de fagots, est dans de beaux draps : voici que par une ruse vengeresse, sa femme le fait passer pour médecin. Le vieux Géronte, qui l'a fait mander pour guérir sa fille, semble perplexe face aux explications de ce docteur peu orthodoxe :
« Géronte – On ne peut pas mieux raisonner, sans doute. Il n'y a qu'une seule chose qui m'a choqué : c'est l'endroit du foie et du cœur. Il me semble que vous les placez autrement qu'ils ne sont; que le cœur est du côté gauche, et le foie du côté droit. Sganarelle – Oui, cela était autrefois ainsi; mais nous avons changé tout cela, et nous faisons maintenant la médecine d'une méthode toute nouvelle. » Les cocasseries perpétuelles de Sganarelle et son charabia scientifique suffisent à tromper la crédulité de la patiente et de son entourage, pour notre plus grand bonheur. Et, pour comble de l'ironie, le faux médecin a affaire à une fausse malade…
Le compte à rebours
Le compte à rebours est en marche. Si rien ne vient l’interrompre, le Front national arrivera au pouvoir. L’antilepénisme ne suffira pas à l’arrêter. Car nous sommes déjà entrés dans l’après-Le Pen, et le Front national sera beaucoup plus dangereux sans son leader actuel. Alors, regardons les choses en face: la poussée de l’extrême droite n’est que l’expression politique d’une crise générale, pour la contenir il faut s’attaquer aux vrais problèmes de notre société. A la crise sociale d’abord, dont témoigne cruellement ce nouveau prolétariat de chômeurs et d’exclus toujours plus sensibles à la démagogie de l’extrémisme, à la crise financière aussi, entretenue par un déficit budgétaire qui oscille entre 15 et 20% d’une année sur l’autre, à la crise de l’immigration enfin, empoisonnée par les jeux pervers de la politique. Autant de rouages qui font tourner la machine infernale. La France est-elle victime du nouveau capitalisme mondial? Je ne le crois pas. Elle est mieux armée qu’aucun autre pays pour y résister, il ne tient qu’à elle de s’en protéger et d’en profiter tout à la fois. Notre malheur, c’est ce « modèle français » qui cache sous de beaux principes l’égoïsme, le conservatisme, l’impuissance et la plus brutale injustice. Le compte à rebours n’est pas une fatalité. A tout moment les Français peuvent se ressaisir et l’arrêter. Pour éviter l’intolérable, j’ai choisi de dire les vérités qui déplaisent. Voici comment nous pourrions parer au pire, et même gagner le meilleur.
Le Monde après la pluie
Quand s’ouvre le Monde après la pluie, la fin du monde vient tout juste de s’accomplir. Peut-être que, lasse d’être de plus en plus exploitée, bouleversée, empoisonnée, martyrisée, la Terre s’est révoltée, après quelque six mille ans d’une patience que beaucoup prenaient pour de la résignation. De la catastrophe, voici le résultat : la planète n’est plus, d’un pôle à l’autre et d’est en ouest, qu’une surface sans fin de boue, villes rasées et campagne noyée. Des milliards d’êtres humains, huit survivants dont un Blanc, Arcadi, un Peau-Rouge de la nation des Corbeaux, Mocassin, un Noir trompettiste, Am on my Way, une jeune fille et une jeune femme, Anne et Aube. De la condition animale, un seul miraculé, le koala Hip Hop. Sous le commandement d’Arcadi, que seconde l’Indien Corbeau, la petite troupe se met en marche.
Défense d’Aimer
Flora, Pierre. Elle est peintre, lui homme politique. Entre eux, de brefs moments, des étreintes passionnées. Et rien de plus. Surtout pas « je t'aime » Cela, Pierre n'en veut pas. Il advient pourtant que Flora se rebelle contre cette défense d'aimer. Elle est prête à tout comprendre, à admettre sa vie conjugale, les impératifs de sa carrière. Elle voudrait seulement partager davantage. Comment le lui dire ? Pourquoi chez l'homme cette peur des sentiments ? Pour le défier, pour se défier, Flora se jette dans les bras d'un autre… En un récit serré, économe, épris de l'essentiel, la romancière de La Maison de jade et La Maîtresse de mon mari dépeint les férocités et les vertiges de la passion.

