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Rui Lacas
Merci patron
Sud-est du Portugal dans les années 1980. Une vieille dame triste et esseulée demande chaque jour à son ancien patron une petite pièce pour sa fille jusqu’au jour où une personne lui demande qui est sa fille. Cette fille s’appelle Anita et vit avec sa mère sur la propriété de son patron, un riche Espagnol qui domine toute la région. Elle doit abandonner l’école pour se mettre à travailler.
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Elle, c’est Alestria, l’enfant sauvage devenue reine des Amazones. Celles qui chevauchent les steppes, aiment la guerre, combattent les hommes et n ont pas peur de la mort. Lui, c’est Alexandre, fils de Philippe, roi de Macédoine, né à Pella en 356 avant J-C. Ayant soumis l’Asie Mineure et la Perse, vainqueur de Darius, il ne lui manque qu’une reine pour asseoir son empire absolu. Une reine à sa mesure ou à sa démesure qu’il rencontre sous les traits d’un guerrier invincible dans l’immense steppe de Mongolie.
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Dans le village de Paillar, le rugby est roi : même les ronds-points sont ovales ! L’équipe de Paillar n’a peur que d’une chose, c’est que des Anglais mal intentionnés transforment L’Albala-Digeo, le bar local, en salon de thé ! Pour le reste, ce ne sont pas les gnons, les beignes, les marrons et les tampons de l’équipe adverse qui feront reculer les joueurs du Paillar athletic club ! Au contraire, ils sont convaincus que les filles adorent leurs oreilles broyées ou leurs yeux pochés… Nos joueurs, Loupiote, La Couâne, L’Anesthésiste, La Teigne et Bourrichon vont vous faire pénétrer au cœur des vestiaires, des mêlées, des club-houses et des légendaires troisièmes mi-temps… Bref, au cœur de l’ovalie !
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On ne se méfie jamais assez des journalistes. Pour n'avoir pas à courir derrière une mémoire qui n'a jamais cessé de me fuir, je prends des notes. C'est ainsi que, depuis plus de quinze ans, j'ai consigné sur des cahiers à spirale la plupart de mes conversations avec Jacques Chirac. Alors que son règne arrive à son couchant, il m'a semblé qu'il était temps de vider mes carnets. Je ne les avais pas écrits pour qu'ils restent à rancir au fond d'un tiroir mais parce que le métier qui mène mes pas consiste à faire la lumière sur tout. Telle est sa grandeur et sa misère. Si l'on veut garder sa part d'ombre, il ne faut pas fréquenter les journalistes. Ceci n'est donc pas une biographie au sens propre mais plutôt l'histoire d'une tragédie personnelle, devenue, sur la fin, une tragédie nationale.