- Home
- >
- Langue étrangère
- >
- Merry mister Meddle
Gnid Blyton
Merry mister Meddle
Poor Mister Meddle is a very merry pixie always willing to help out and do good deeds, but he never quite gets it right. One day his meddling gets him into trouble with Aunt Jemima – he serves her up a treacle pudding covered in glue and gets chased home by a Biggle
Vous aimerez aussi
Les rendez-vous de la colline
Une mère, sa fille ; Marie, Constance. A Paris, en Provence, leur vie lente et sereine, leur solitude aussi. Les mots de la tendresse et les silences du cœur. Ce que se disent une grande personne qui se souvient d’avoir été une enfant, et une enfant qui attend passionnément de devenir une grande personne. Une histoire d’amour en somme : l’amour premier. La voix d’Anne Philippe est d’une douceur extrême et son art semble la simplicité même. Mais l’éclat mystérieux de cette parole nue, c’est celui de la vérité des êtres, c’est l’éclat secret de la force d’âme dans la délicatesse de touche. L’amour commence par le respect, et l’amour maternel comme toutes les amours.
Toutes les femmes sont fatales
La plage de Rio de Janeiro, les rues de New York, Paris… Une chanson à la mode, « Toutes les femmes sont fatales », réentendue en ces lieux et en quelques autres par un journaliste plus préoccupé par les aventures de la chair que par celles du monde : pour Bertrand Carnéjoux, l’amour le plus physique ne signifie pas le moins passionné. Une Brésilienne, une Américaine, des Françaises… Beaucoup de femmes, trop de femmes. Entre sa vingtième et sa quarantième année, le narrateur fait l’apprentissage de l’amour vrai. Il découvre peu à peu au-delà de l’anonyme beauté des femmes, leur cœur et peut-être leur âme. L’âme et le cœur, surtout, de Marie-Prune, fiancée perdue que l’on pourrait espérer retrouvée si Bertrand Carnéjoux n’était pas l’homme qu’il est. Le narrateur est aux prises avec un double univers : celui, concret, des choses ; celui évanescent, des pensées. L’un et l’autre tout aussi réels, ou du moins pas plus illusoires l’un que l’autre.
C’est Mozart qu’on assassine
Martin a sept ans, l’âge où l’amour de ses parents devrait guider ses premiers pas dans l’apprentissage de la violence et de l’injustice du monde. C’est au contraire l’instant où la fin de leur union va faire basculer son univers dans les histoires sordides des adultes, va briser en lui toutes les qualités de l’enfance, sa pureté, son génie propre. Gilbert Cesbron trouve ici ses accents les plus bouleversants pour analyser le drame de cet enfant, ce « Mozart assassiné », qui voit peu à peu s’effondrer autour de lui toutes les valeurs d’amour et de droiture qu’il avait jusqu’alors connues. Mais, dans ce siècle de violence, d’égoïsme et d’impureté, le chemin de croix de Martin n’est-il pas celui de la majorité des enfants d’aujourd’hui ?
Les gens d’en face
Livre en mauvais état. » Comment ! vous avez du pain blanc ! » Les deux Persans entraient dans le salon, le consul et sa femme, et c’était celle-ci qui s’extasiait devant la table couverte de sandwiches joliment arrangés.
Or, il n’y avait pas une minute qu’on disait à Adil bey :
» – II n’existe que trois consulats à Batum : le vôtre, celui de Perse et le nôtre. Mais les Persans sont infréquentables. »
C’était Mme Pendelli qui parlait ainsi, la femme du consul d’Italie, et celui-ci, affalé dans un fauteuil, fumait une mince cigarette à bout rose. Les deux femmes se rejoignirent en souriant au milieu du salon au moment précis où des sons, qui n’avaient été jusque-là qu’une rumeur vague dans la ville ensoleillée, s’amplifiaient et soudain, au coin de la rue, éclataient en fanfare.
Alors tout le monde gagna la véranda pour regarder le cortège.