Katy Grissault
Mes fiches ABC du BAC philosophie
Des fiches de Philosophie simples et claires pour un maximum d’efficacité ! 60 fiches détachables au format poche pour réviser un peu tout le temps, avec des bulles d’aides : lexique, citation, l’astuce du prof. L’analyse incontournable des oeuvres au programme. Des cartes mentales pour tout retenir en un coup d’oeil. Les auteurs et des citations-clés indispensables. Des quiz pour s’auto-évaluer.
Et en plus : – Un système pratique pour suivre ses révisions. – Les grands courants philosophiques et des frises chronologiques très visuelles grâce aux rabats de couverture.
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Quand la nuit
Marina a l'allure fragile d'une jeune fille et a un fils de deux ans, qu'elle élève au mieux, en se reprochant de ne pas être une mère parfaite : trop égoïste, maladroite, impatiente, fautive. Elle part avec le petit Marco se reposer dans un hameau des Dolomites, à la frontière autrichienne, où elle loue un appartement à un montagnard du cru, Manfred. Manfred a les yeux clairs et durs, les rides du guide de haute montagne, sa mère l'a abandonné, lui et ses frères, quand il était enfant, puis sa femme l'a quitté, le laissant seul, tout à son mépris du genre féminin. Ils n'ont rien pour se plaire, sinon un noyau de solitude qu'ils partageront, brutalement quand la nuit vient, alors que montent le désir et l'absence de l'autre. Ils s'esquivent puis se trouvent, comme si le monde était soudain à eux. Dans ce roman intimiste écrit à deux voix, Cristina Comencini fait jaillir du silence des personnages, du paysage minéral qui les entoure, torrents, roches, éboulis, une prose enivrante et désespérée.
Calligraphie des rêves
A ceux qui s’étonnaient qu’il ne se soit jamais servi des circonstances, fort romanesques, de sa naissance et de son adoption, Juan Marsé avait jusqu’ici l’habitude de répondre que ses mémoires se trouvent dans ses romans et ses nouvelles. « Je comprends que ce soit un thème très littéraire (ou qu’il puisse le paraître à certains) mais je ne l’ai jamais abordé comme tel, bien que mes romans soient pleins de gamins qui s’inventent leurs père, ou qui décident d’être fils d’eux-mêmes », a-t-il même écrit un jour. Or, c’est une explication que Marsé ne pourra plus avancer : il raconte en effet dans le roman qui nous occupe, et de façon très précise, cet épisode fondateur de sa vie et probablement de son œuvre : sa mère meurt dix jours après sa naissance, laissant son père, chauffeur de taxi, seul avec sa sœur aînée. Le pauvre veuf ne s’en sort pas et songe à confier le nouveau-né à une autre famille.
Le carnets du ravage
Faëlle est belle comme un ange. C’est aussi une adolescente presque sans histoire, bien décidée à s’intégrer dans son nouveau lycée. Mais cette rentrée n’est pas comme les autres : des gens autour d’elle changent de comportement, deviennent agressifs, dépressifs ou violents. Fëlle découvre qu’ils sont victimes des Ravageurs, invisibles semeurs de folie et de mort venus d’un autre monde aux couleurs éclatantes, la Lande. Et si Faëlle était liée à ce monde elle aussi ? Faëlle… ou Raphaëlle, ange implacable du Ravage.
L’Enfant témoin
Terrance Wyler, héritier d'une riche dynastie canadienne, est retrouvé mort chez lui le jour de l'ouverture du procès de son divorce. Tout accuse sa femme, Samantha. Possessive et jalouse, elle a également un mobile : la lutte pour la garde de leur enfant. Le témoignage de Simon est décisif : il déclare avoir vu sa mère le soir du meurtre, chez son père. Devant un dossier aussi accablant, Ted DiPaulo, l'avocat de Samantha, lui conseille de plaider coupable d'homicide involontaire. Il souhaite éviter un procès à l'issue duquel la sentence serait encore plus lourde. Quand tout nous accuse, vaut-il mieux plaider coupable pour réduire sa peine ou défendre son innocence coûte que coûte ?