Alexandrine Civard-Racinais
Métiers du journalisme : Un rêve à portée de main
Est-il indispensable de faire une école ? Internet, ça recrute vraiment ? Sans piston, point de salut ? L’alternance, un bon moyen de mettre le pied à l’étrier ? La presse écrite, c’est fini ? Toutes les réponses à ces questions et bien d’autres pour vous aider à choisir le métier qui vous correspond et à vous orienter vers la formation la plus adaptée.
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« C’est un livre que j’ai longtemps mûri : l’idée m’en est venue quand j’avais trois ans et demi, pendant que mon père cassait des cailloux en Allemagne, du 9 au 16 novembre 1989. Simplement, pour le publier, j’ai attendu de savoir écrire et d’être légitime – parce que moi, je ne veux pas du soupçon. » J. S.
Femme debout
Ségolène Royal, ou l'art de renaître. De la campagne présidentielle au congrès du PS, du triomphe de la primaire à l'échec de Reims, elle aura en deux ans côtoyé le sommet et frôlé les abîmes. À quoi tient un destin politique? À des rencontres. À une persévérance sans limite et à une confiance absolue dans son étoile. Mais aussi à l'adversité, aux échecs, aux trahisons. De tout cela, Ségolène Royal parle librement, sans fard, sans contourner le questionnement. Une radioscopie de pensées parfois contradictoires, parfois déconcertantes, mais toujours parfaitement assumées. Dans ces entretiens menés tout au long de l'année 2008, elle a accepté que je fixe la règle du jeu. À travers les mille détails de la vie, ces conversations portent sur les questions essentielles : Comment se reconstruire après l'échec? Comment réinventer la politique? Comment tenir son rôle, quel que soit ce rôle ? Une année dans la vie d'une femme française au destin si peu ordinaire. Toujours debout. Déjà dans le jour d'après. Déjà tournée vers 2012.
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Un cow-boy égaré au pays des gardians, un handicapé braqueur de Feria, une veuve de matador au fourneau, des mercenaires du virtuel face aux cornes, un serial-killer… ouvertes par un texte lauréat éblouissant de maîtrise et de concision, dix-sept nouvelles finalistes du Prix Hemingway 2008, dont la variété de tons, de styles et de sujets séduira tous les lecteurs.
Les grandes libertines
A la fin du règne de Louis XV et au début de celui de Louis XVI, montent au firmament de la célébrité parisienne deux étoiles de la scène : Sophie Arnould, la cantatrice lyrique et Françoise ou Fanny Raucourt, la tragédienne. Elles finissent par scandaliser plus par la liberté de leurs mœurs homosexuelles que par leur talent. De l’une à l’autre, passera la petite Virginie Durfort qui fut initiée aux pratiques saphiques pendant un long séjour au couvent des Bernardines. D’autres partenaires suivront quand Virginie sera menée injustement à la guillotine le dernier jour de la Terreur… Une très intéressante biographie de deux personnalités féminines un peu tombées dans l’oubli qui, après celle de Mme Tallien, « La reine de Paris » et celle d’Olympe de Gouges « L’ange de la paix », achève la trilogie que Michel Peyramaure a consacré à ces quatre destins d’exception. Les documents sérieux manquant, il a opté pour une version très romancée en introduisant le personnage de fiction de Virginie et en prenant quelques libertés avec les dates des événements.