Alexandrine Civard-Racinais
Métiers du journalisme : Un rêve à portée de main
Est-il indispensable de faire une école ? Internet, ça recrute vraiment ? Sans piston, point de salut ? L’alternance, un bon moyen de mettre le pied à l’étrier ? La presse écrite, c’est fini ? Toutes les réponses à ces questions et bien d’autres pour vous aider à choisir le métier qui vous correspond et à vous orienter vers la formation la plus adaptée.
Vous aimerez aussi
Lettre ouverte du dernier des chrétiens au premier des français
Une école politique affirme sans sourire que le repos dominical est désuet voire néfaste en ces temps de crise économique.Or l’analyse des conséquences sociales de l’extension de l’ouverture des magasins le dimanche, démontre que cela nourrirait précisément les moteurs de la crise mondiale que nous traversons. Examinant les conséquences les plus concrètes comme les effets à long terme, Michel Fauquier appelle à une réflexion qui ne soit pas menée au nom des seuls impératifs économiques, mais qui prenne en compte le véritable intérêt humain.
Les Rugbymen – 7 – Le résultat on s’en fout, il faut gagner !
Dans ce 7e album, un nouveau joueur rejoint l’équipe de Paillar. Troisième-ligne au physique de déménageur, Jonas Frilung dit « le Sécateur » est un plaqueur implacable. Il parvient même à empêcher le pilier La Couane de rejoindre le banquet de la 3e mi-temps, c’est dire ! Après une année bien remplie, l’équipe de Paillar part pour son traditionnel voyage de fin de saison. Au bord de la grande bleue, dans un camping dédié au rugby, bringue, drague, beach-rugby et naturisme sont au programme… Les vacances dont vous avez toujours rêvé, eux les ont osées !
Cher amour
Je suis en arrêt de jeu, sur le clos, paupières closes. Je sais que vos mains, fines, élégantes, déliées, sont une harmonie, une musique pour saisir mes lettres, les déplier et les tenir comme la plus précieuse découverte de notre vie. Cette main qui repousse une mèche de cheveux reste suspendue pendant que vous lisez, attentive, les mots sacrés de ce voyageur infatigable qui a fini par s'arrêter dans votre jardin. Je vous aime depuis si longtemps, depuis avant le début. Ces lettres qui ne pourraient jamais finir sont celles de mes mouvements géographiques et de mes voyages immobiles sur la scène. Mais probablement y verrez-vous un autre voyage plus complexe, plus hardi, plus désespéré. Voyager, dit-on, on n'en revient jamais. Le prendrez-vous ce temps de me lire pour me prolonger un peu en vous ? Avec un don irrésistible pour dire le clair-obscur des sentiments, Bernard Giraudeau embarque ses lecteurs, en compagnie de l'inconnue qu'il veut séduire, vers des ailleurs nés d'un imaginaire construit sur l'aventure, le désir de vivre et d'aimer.
Au bord des cendres
De sa famille Vincent ne sait rien, ou presque. Aussi, à la mort de sa femme et de son fils, se tourne-t-il vers ses racines, ses origines – vers le passé, faute d'avenir… Malgré la réprobation tacite de son père, Vincent se jette donc à la recherche de cette grand-mère, Valentine, disparue en juin 1944, sans laisser de trace. Se pourrait-il que ce soit cette vieille dame, au nom inconnu, internée depuis cinquante ans dans un asile charentais ? « Ces salauds nous trouveront pas », se borne-t-elle à répéter. Mais la boîte de la mémoire ne tarde pas à s'entrouvrir. Et les souvenirs, heureux, malheureux, affluent : c'était en mai 1936. Il était une fois deux sœurs… Une famille, la guerre. Des cendres et des braises. Car rien n'est éteint…