Alexandrine Civard-Racinais
Métiers du journalisme : Un rêve à portée de main
Est-il indispensable de faire une école ? Internet, ça recrute vraiment ? Sans piston, point de salut ? L’alternance, un bon moyen de mettre le pied à l’étrier ? La presse écrite, c’est fini ? Toutes les réponses à ces questions et bien d’autres pour vous aider à choisir le métier qui vous correspond et à vous orienter vers la formation la plus adaptée.
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La Veuve
Meurtrière ou pas ? Tout en scrutant la jeune veuve, Connor Maguire s’interroge : cette beauté diaphane au regard perdu a-t-elle assassiné son vieux mari, Aristide Pompasse, le plus célèbre peintre de son temps ? Même si nul ne parle encore de crime, lui, Maguire, ancien reporter, sait reconnaître un meurtre. Et le cadavre du peintre ne l’a pas trompé. Si Maguire a commencé à s’intéresser au peintre peu avant sa mort, c’est pour des raisons bassement mercantiles. Mais le voici maintenant poussé par la curiosité, n’hésitant pas à se faire passer pour un assureur et à enquêter discrètement dans la superbe résidence toscane du défunt. Une résidence où Charlie, l’épouse légitime qui a quitté le foyer conjugal plusieurs années auparavant, est revenue pour régler la succession. Entouré des « femmes » du peintre – la vieille favorite, la dernière maîtresse, Charlie -, Maguire cherche à résoudre le mystère de cette mort. Et dans la clarté chaude et ambrée de la campagne toscane, il est prêt à tout pour arriver à ses fins. A tout, y compris à séduire Charlie.
Ma vie, mon oeuvre, mon scooter
« C’est un livre que j’ai longtemps mûri : l’idée m’en est venue quand j’avais trois ans et demi, pendant que mon père cassait des cailloux en Allemagne, du 9 au 16 novembre 1989. Simplement, pour le publier, j’ai attendu de savoir écrire et d’être légitime – parce que moi, je ne veux pas du soupçon. » J. S.
Diane Lanster
Une étrange maladie de peau qui lui livre bataille depuis qu’il est né, la polio qui le laisse infirme et claudiquant depuis l’enfance, et toutes les frustrations qui s’en suivent, Thierry n’a pas eu l’existence facile. Il a un don, cependant : le dessin. Mais quand il se retrouve élève dans un atelier, à dix-huit ans, un autre péril le menace : le cours est mixte. Diane, sa blondeur, sa beauté, ses jupes écossaises et ses attentions, voici une calamité nouvelle à quoi il n’est guère préparé … le plaisir doux-amer de l’amour mal partagé.
Cher amour
Je suis en arrêt de jeu, sur le clos, paupières closes. Je sais que vos mains, fines, élégantes, déliées, sont une harmonie, une musique pour saisir mes lettres, les déplier et les tenir comme la plus précieuse découverte de notre vie. Cette main qui repousse une mèche de cheveux reste suspendue pendant que vous lisez, attentive, les mots sacrés de ce voyageur infatigable qui a fini par s'arrêter dans votre jardin. Je vous aime depuis si longtemps, depuis avant le début. Ces lettres qui ne pourraient jamais finir sont celles de mes mouvements géographiques et de mes voyages immobiles sur la scène. Mais probablement y verrez-vous un autre voyage plus complexe, plus hardi, plus désespéré. Voyager, dit-on, on n'en revient jamais. Le prendrez-vous ce temps de me lire pour me prolonger un peu en vous ? Avec un don irrésistible pour dire le clair-obscur des sentiments, Bernard Giraudeau embarque ses lecteurs, en compagnie de l'inconnue qu'il veut séduire, vers des ailleurs nés d'un imaginaire construit sur l'aventure, le désir de vivre et d'aimer.

