Christel Teddy Senou Chacha
Mon Empire en ligne – Livre neuf
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Le droit vote des actionnaires
L’attribution du droit de vote aux assemblées des sociétés anonymes est gouvernée par un principe de proportionnalité à l’apport, qui ne s’explique que si l’on admet la nature subjective du droit. Confirmation en est donnée par les hypothèses de privation du droit de vote : loin d’annoncer l’existence d’un principe d’interdiction du vote de celui qui se trouve en conflit d’intérêts avec la société, le caractère limitatif des hypothèses de privation édictées par le législateur démontre la validité de principe du vote dit » intéressé « . Les éléments de qualification tirés de l’exercice du droit ne remettent pas en cause l’analyse subjective d’une part, l’exercice du droit a un caractère facultatif ; d’autre part, cet exercice n’est pas finalisé. La notion d’intérêt social n’a pas, en effet, de rôle à jouer lorsqu’à l’assemblée l’actionnaire détermine le sens de son vote ; elle n’intervient que dans le cadre du contrôle opéré par le juge, et l’analyse de la jurisprudence fait alors apparaître que la dualité des critères de l’abus, tels qu’ils ont été déterminés par le juge, témoigne de l’absence de finalité attachée à l’exercice du droit. La qualification de droit subjectif ainsi rétablie permet d’ajuster la portée du déclin du droit de vote de l’actionnaire observé par certains auteurs : s’il est vrai que le droit de vote n’est pas appelé à jouer un rôle déterminant dans la définition de la notion d’actionnaire, en revanche le recul du droit de vote au profit d’autres prérogatives de l’actionnaire a été exagéré. L’affirmation de la nature subjective du droit de vote permet, surtout, une restauration du régime juridique de la prérogative, en rétablissant tout d’abord le principe de proportionnalité dans sa plénitude. Elle permet, en outre, de développer les utilités du droit, autour d’un principe de liberté rénové. Elle permet, enfin, de mettre en lumière la valeur qui s’attache au droit de vote en tant que tel, et dès lors, d’envisager la circulation de cette valeur.
Le prophète du libéralisme
«Il nous avait tous réunis, sur le golf somptueux de sa demeure privée. Et nous le suivions radieux, portant fièrement à tour de rôle le sac garni de ses clubs.
Et nous nous tenions là pour apprendre de lui, pleins d?une soif de savoir humble et sans borne. Juges, médecins, banquiers, professeurs, chefs d?entreprise, journalistes.., notre cortège l?accompagnait, comme la traîne d?une robe princière. Alors, dans un sourire béat, Mère Rosetta demanda : – ET LA PAUVRETÉ, MAÎTRE ? Que les rêveurs cessent de rêver. Toujours il y eut des pauvres et toujours il y aura des pauvres, car toujours il y aura des individus plus faibles, moins industrieux et plus fainéants. Il est normal que l?inventivité des plus forts soit récompensée, il est normal que la passivité des plus faibles ne le soit pas. Mais il n?y a pas de réelle pauvreté économique. Le plus pauvre des pays a toujours quelque chose à vendre. Accepter nos déchets nucléaires, prostituer ses enfants, les proposer à l?adoption, vendre leurs organes, leurs reins, leurs cornées. En vérité, je vous le dis, la richesse des pauvres est incalculable. » En ces temps de désarroi, où beaucoup s?interrogent sur la marche et l?avenir de notre civilisation, il est bon d?écouter Celui qui parle vrai, Celui dont la langue n?est pas de bois, qui dit les choses crûment. En pastichant un fameux livre de sagesse, Michel Piquemal nous livre une satire drolatique et jubilatoire. Un pamphlet terriblement décapant. Qui osera nier que ce sont là les paroles d?évangile de l?ultra-libéralisme triomphant ?
Que sais-je ? L’euro
Sans aucun doute, l’avènement de l’euro est le tournant le plus radical des finances internationales depuis l’adoption des changes flexibles au début des années 1970. L’Europe dispose maintenant d’une monnaie propre à douze États, probablement davantage au cours des prochaines années. Cette ère entièrement nouvelle est porteuse d’espoirs comme de risques.
L’auteur analyse quatre chocs majeurs susceptibles d’intervenir dans un avenir proche: énergétique, financier, démographique et alimentaire, géopolitique. Chacun d’entre eux aura des conséquences importantes sur les grands équilibres mondiaux, d’autant que leur caractère cumulatif et combinatoire devrait en accroître les impacts. La gestion, et en particulier l’anticipation de ces chocs, sera donc déterminante pour éviter les crises, économique et financière, et maintenir la paix dans le monde. À partir de ces diverses hypothèses, l’auteur établit onze scénarios pour l’avenir, du plus sombre au plus optimiste. Dans un tel contexte, il affirme sa préférence pour le modèle de l’Union européenne, qui, malgré les difficultés, ferait de la rigueur économique la condition nécessaire à l’expansion des valeurs de liberté et du « rêve européen ». En fonction de sa vision personnelle, chaque lecteur pourra cependant estimer quel est le scénario le plus probable