Christel Teddy Senou Chacha
Mon Empire en ligne – Livre neuf
LIVRE NEUF – Que vous soyez un entrepreneur débutant ou un expert en commerce électronique, « Mon Empire en Ligne » vous donne les clés pour propulser votre entreprise en ligne vers de nouveaux sommets et réussir dans le monde numérique d’aujourd’hui. Ce livre est le guide essentiel pour les entrepreneurs ambitieux du commerce en ligne, en leur dévoilant des stratégies éprouvées pour booster les ventes et atteindre de nouveaux sommets dans le monde numérique. Découvrez les secrets de la réussite en ligne, maîtrisez les stratégies marketing percutantes, optimisez votre site web, simplifiez la gestion des stocks et de la logistique, et fidélisez vos clients pour générer des ventes récurrentes.
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Le prophète du libéralisme
«Il nous avait tous réunis, sur le golf somptueux de sa demeure privée. Et nous le suivions radieux, portant fièrement à tour de rôle le sac garni de ses clubs.
Et nous nous tenions là pour apprendre de lui, pleins d?une soif de savoir humble et sans borne. Juges, médecins, banquiers, professeurs, chefs d?entreprise, journalistes.., notre cortège l?accompagnait, comme la traîne d?une robe princière. Alors, dans un sourire béat, Mère Rosetta demanda : – ET LA PAUVRETÉ, MAÎTRE ? Que les rêveurs cessent de rêver. Toujours il y eut des pauvres et toujours il y aura des pauvres, car toujours il y aura des individus plus faibles, moins industrieux et plus fainéants. Il est normal que l?inventivité des plus forts soit récompensée, il est normal que la passivité des plus faibles ne le soit pas. Mais il n?y a pas de réelle pauvreté économique. Le plus pauvre des pays a toujours quelque chose à vendre. Accepter nos déchets nucléaires, prostituer ses enfants, les proposer à l?adoption, vendre leurs organes, leurs reins, leurs cornées. En vérité, je vous le dis, la richesse des pauvres est incalculable. » En ces temps de désarroi, où beaucoup s?interrogent sur la marche et l?avenir de notre civilisation, il est bon d?écouter Celui qui parle vrai, Celui dont la langue n?est pas de bois, qui dit les choses crûment. En pastichant un fameux livre de sagesse, Michel Piquemal nous livre une satire drolatique et jubilatoire. Un pamphlet terriblement décapant. Qui osera nier que ce sont là les paroles d?évangile de l?ultra-libéralisme triomphant ?
Fraudes à la commission européenne
Que s’est-il passé à la Commission ? Favoritisme, fraudes, abus ? Un combat » David contre Goliath « , dans les couloirs de la Commission ? En regardant par-dessus l’épaule de l’auteur nous entrons dans son récit comme dans un roman policier. L’essentiel de l’affaire s’est cristallisé autour d’Edith Cresson : le programme Leonard de Vinci (formation professionnelle) mais aussi les contrats de complaisance de René Berthelot, son dentiste. l’histoire : un fonctionnaire européen, Paul van Buitenen, dénonce des fraudes découvertes au sein de la Commission européenne et transmet un dossier sulfureux au Parlement européen. Son témoignage conduit à la démission collective de la Commission et menace aujourd’hui encore directement de hauts fonctionnaires. Quant au courageux fonctionnaire qui n’a fait que suivre sa conscience et son sens de l’honnêteté, il est suspendu pendant quatre mois puis muté.
La France face à sa dette
La dette publique, c’est : 41 000 euros par ménage, soit 1 138 milliards d’euros en 2005 ; 45 milliards d’euros d’intérêts à rembourser chaque année, soit l’intégralité des recettes de l’impôt sur le revenu ; + 235 % en quinze ans, entre 1990 et 2005. 2015, c’est l’année de la banqueroute de la France, si la tendance se prolonge. La dette publique s’impose comme LE sujet de la campagne présidentielle. Depuis dix ans la dérive des comptes publics s’est emballée, faisant de la France le pays de l’Union européenne dont le taux d’endettement a augmenté le plus vite. Cette dérive est d’autant plus préoccupante que les dépenses accumulées n’ont pas servi à renforcer notre potentiel de croissance mais ont eu pour effet de reporter nos dépenses actuelles de santé et d’indemnisation du chômage sur les générations futures.
Les coulisses du commerce équitable
Les ravages de la mondialisation conduisent les citoyens à rechercher des moyens de peser sur l’évolution de la société. Leur consommation en est un. À la fin des années 1990, le concept de commerce équitable conquiert le grand public avec un produit-phare, le café. Très vite, tout produit se prête à sa version « équitable », l’équitable devient tendance. C’est un petit business qui monte. Son concept repose sur un triple engagement, celui des producteurs et des consommateurs arbitré par de nouveaux intermédiaires, les « acteurs » de l’équitable : les consommateurs paient « un peu plus cher » un produit acheté à un prix supérieur aux cours mondiaux pour assurer un revenu décent aux petits producteurs du Sud. Les acteurs veillent au respect des normes sociales et environnementales. Qu’en est-il de la promesse que les uns et les autres se font ? Les organisations relais et entreprises qui font de l’équitable tiennent-elles leurs engagements ? Qui est vraiment gagnant ? Répondre à ces questions, c’est éclairer d’un jour cru un aspect que certains « commerçants de la bonne conscience » aimeraient tenir secret. Initié par le militantisme citoyen, largement instrumentalisé par les bureaux de marketing, le commerce équitable a été récupéré par les marchands d’illusion. En se donnant à la grande distribution et à quelques transnationales en quête d’honorabilité, les adeptes de la marchandisation de l’équitable ont ouvert la boîte de Pandore. Christian Jacquiau a mené l’enquête pendant deux ans. Il nous invite dans l’arrière-boutique d’un secteur méconnu et nous dévoile les dérives et abus commis au nom de l’équitable.