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Julie Bowe
My best Frenemy
En Anglais – Ida May finally fits in at school after becoming best friends with Stacey Merriweather, one of the popular girls. But then Ida’s frenemy, bossy Jenna Drews, brings in a game of truth or dare, and all the girls are suddenly daring one another to misbehave. When Ida finds herself in the principal’s office, she ends up ratting out her friendsÑwith disastrous consequences. The only way she can fix things is to take a triple-dog dare, but Ida May isn’t sure she has the guts. Will her BFF come to her rescue, or is this the perfect job for a frenemy?
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The dead republic
En Anglais – The triumphant conclusion to the trilogy that began with “A Star Called Henry” Roddy Doyle’s irrepressible Irish rebel Henry Smart is back-and he is not mellowing with age. Saved from death in California’s Monument Valley by none other than Henry Fonda, he ends up in Hollywood collaborating with legendary director John Ford on a script based on his life. Returning to Ireland in 1951 to film “The Quiet Man”- which to Henry’s consternation has been completely sentimentalized-he severs his relationship with Ford … His career in film over, Henry settles into a quiet life in a village north of Dublin, where he finds work as a caretaker for a boys’ school and takes up with a woman named Missus O’Kelly, whom he suspects- but is not quite sure-may be his long-lost wife, the legendary Miss O’Shea. After being injured in a political bombing in Dublin in 1974, Henry is profiled in the newspaper and suddenly the secret of his rebel past is out. Henry is a national hero. Or are his troubles just beginning? Raucous, colorful, epic, and full of intrigue and incident, “The Dead Republic” is also a moving love story-the magnificent final act in the life of one of Roddy Doyle’s most unforgettable characters.
Maréchal Rommel – La guerre sans haine
Aucun grand capitaine de la Seconde Guerre mondiale n'a écrit de récit aussi clair et aussi percutant sur la stratégie militaire que Rommel dans ses Carnets. Soucieux de tirer les leçons de ses campagnes, il rend compte mieux que quiconque du Blitzkrieg puis des combats dans le désert. En lisant ses textes, on entre au coeur de sa réflexion stratégique, toujours ancrée dans l'action. On découvre un chef de guerre qui s'est constamment affranchi des règles traditionnelles pour surprendre l'ennemi et le prendre de vitesse, mais aussi un homme pour qui les combats devaient épargner le plus possible les civils et éviter les représailles. À la fois craint et estimé par les Alliés, notamment britanniques, qui ont contribué à bâtir sa «légende», il demeure un soldat discipliné, que sa formation a toujours empêché de remettre en cause le pouvoir du Führer. Bien que sa mort ordonnée par Hitler ait interrompu ce récit, ce témoignage n'en reste pas moins capital pour l'histoire.
L’Année Terrible
En décembre 1908, Jules Garçon, jeune écrivain originaire de Saint-Pol-sur-Ternoise, dans le Pas-de-Calais, termine, sous le pseudonyme de Georges le Tervanick, la transcription des souvenirs de Dominique Thelliez relatifs à son engagement dans la guerre franco-prussienne de 1870. Car il faut dire que son enfance, comme tant d’autres, a été bercée par les récits de cette guerre et, sans doute, par nombre de couplets revanchards ayant pour thème l’Alsace et la Lorraine. Jules Garçon entend donc témoigner à la fois des souffrances et du désarroi de toute une génération, celle de ses grands-parents, et de la modeste grandeur de deux hommes : Dominique Thelliez, “un vieux, brave troupier”, et Léopold Foulon, son propre grand-oncle, “mobile” du Pas-de-Calais. Deux “obscurs”, acteurs à peine, niais témoins actifs, attristés souvent, souvent malicieux, discrètement critiques, de cette campagne lamentable où les humbles, servirent de pions dans le jeu de dirigeants politiques et militaires d’une confondante incompétence.
Le jour du roi
Nous sommes en 1987. Dans un Maroc qui vit encore dans la peur, sur une route entre deux villes, Rabat et Salé, le Roi Hassan II va passer. Perdus au milieu de la foule, deux amis, Omar et Khalid, un pauvre et un riche, l’attendent. Le riche a été choisi pour aller baiser la main du souverain. L’autre est jaloux. La guerre des classes est déclarée. Elle se terminera au milieu de la forêt, dans le sang.

