Kohei Horikoshi
My hero academia – Tome 9 – My hero
La nouvelle génération de super-héros du Shonen Jump débarque enfin ! Les seconde A ont tôt fait de découvrir ce qui les attend. Adieu sources chaudes et feux de camp, ce sera entraînement, entraînement, entraînement ! Première épreuve : traverser la forêt des bêtes démoniaques. Et dès le lendemain, les Wild Wild Pussycats, les nouveaux formateurs de nos apprentis héros, leur concoctent un programme infernal pour augmenter la puissance de leurs alters ! Mais dans l’ombre, une menace se rapproche : l’alliance des super-vilains, bien décidée à prendre sa revanche, s’apprête à passer à l’action…
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Les Bonnes
Genet nous avertit. Il ne faut pas prendre cette tragédie à la lettre : « C’est un conte, c’est-à-dire une forme de récit allégorique. » « Sacrées ou non, ces Bonnes sont des monstres. Elles ont vieilli, elles ont maigri dans la douceur de Madame. Elles crachent leurs rages. » Les domestiques sont des êtres humiliés dont la psychologie est pertubée. Austères dans leur robe noire et souliers noirs à talons plats, les bonnes ont pour univers la cuisine et son évier ou la chambre en soupente, dans la mansarde, meublée de deux lits de fer et d’une commode en pitchpin, avec le petit autel à la Sainte Vierge et la branche de buis bénit. Genet a réussi cette pièce, Les Bonnes, peut-être parce qu’il revivait, à l’intérieur de ses personnages, en l’écrivant, sa propre humiliation.
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Un cabaret dans un camp au milieu des Pyrénées, au début de la Seconde Guerre mondiale. Deux amies, l’une aryenne, l’autre juive, qui chantent l’amour et la liberté en allemand, en yiddish, en français … cela semble inventé ! C’est pourtant bien réel. Eva et Lise font partie des milliers de femmes « indésirables » internées par l’État français. Leur pacte secret les lie à Suzanne « la goulue », Ernesto l’Espagnol ou encore au commandant Davergne. À Gurs, l’ombre de la guerre plane au-dessus des montagnes, le temps est compté. Il faut aimer, chanter, danser plus fort, pour rire au nez de la barbarie. À la façon d’une comédie dramatique, Diane Ducret met en scène le miracle de l’amour, la résistance de l’espoir dans une fable terrible et gaie, inspirée d’histoires vraies.
Musique mortelle
La rumeur court dans les rues de La Nouvelle-Orléans que des musiciens sont assassinés dans d’étranges circonstances… On dit que la mort les frappe peu après qu’ils se sont produits en concert. Du moins, c’est ce dont est persuadé Tyler Anderson, l’ami d’une des victimes. Celui-ci va même jusqu’à assurer que l’instrument de son défunt comparse – un saxophone – est lié à la série de meurtres. Alors, qui d’autre que Danni Cafferty pour se pencher sur ce nouveau mystère ? Après tout, la jeune femme a déjà permis de résoudre deux affaires tout aussi troublantes par le passé. Encore faut-il que Danni accepte de replonger dans une enquête qui, à coup sûr, mettra à nouveau ses extraordinaires capacités psychiques à rude épreuve… Mais, quelle que soit sa décision, elle aura toujours le soutien de Michael Quinn, son compagnon et âme sœur, avec qui elle espère enfin pouvoir construire une vie loin des malédictions et autres fantômes du passé.
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Dans la nuit noire du Northumberland, derrière la façade de verre d’une maison isolée, l’enterrement de vie de jeune fille bat son plein. Ils sont cinq autour de la table basse, imbibés d’alcool. La séance de spiritisme va débuter.Mais derrière les sourires convenus, Nora peine à cacher son malaise, tandis qu’une cascade de questions lui torture le cerveau. Que fait-elle là ? Pourquoi a-t-elle été invitée ? Et sur tout, pourquoi a-t-elle accepté de venir ? Voilà dix ans qu’elle n’a pas vu Clare, la reine de la fête, son ex-meilleure amie du lycée. Dix ans de non-dits, de rancune et de souffrance. Comment faire comme si de rien n’était ?Dans la nuit noire du Northumberland, il n’y a pas que la lune blafarde au-dessus des cimes sombres. Il n’y a pas que le silence angoissant de la forêt. Il y a aussi le fusil sur la cheminée.Quelques heures plus tard, Nora émerge du coma à l’hôpital, couverte d’ecchymoses et de sang. Un policier,devant sa porte, parle de meurtre à voix basse. Quel meurtre ? Elle a beau faire appel à sa mémoire, aucun souvenir ne lui revient, c’est le néant. Mais que s’est-il passé ?La vérité se trouve au fond de ces bois, au fond de ces pages.