- Home
- >
- Langue étrangère
- >
- Nelson
Tor Freeman, Jude Freeman
Nelson
EN ANGLAIS
Flora and Annie are off to stay with their grandparents. The girls will travel from Cape Town on the bus, and Flora is proud that their mother has put her in charge. Flora loves lots of things about staying with Ouma and Oupa. But there’s one thing she doesn’t like at all – Nelson, their grandmother’s large, red rooster.
Vous aimerez aussi
Les grandes libertines
A la fin du règne de Louis XV et au début de celui de Louis XVI, montent au firmament de la célébrité parisienne deux étoiles de la scène : Sophie Arnould, la cantatrice lyrique et Françoise ou Fanny Raucourt, la tragédienne. Elles finissent par scandaliser plus par la liberté de leurs mœurs homosexuelles que par leur talent. De l’une à l’autre, passera la petite Virginie Durfort qui fut initiée aux pratiques saphiques pendant un long séjour au couvent des Bernardines. D’autres partenaires suivront quand Virginie sera menée injustement à la guillotine le dernier jour de la Terreur… Une très intéressante biographie de deux personnalités féminines un peu tombées dans l’oubli qui, après celle de Mme Tallien, « La reine de Paris » et celle d’Olympe de Gouges « L’ange de la paix », achève la trilogie que Michel Peyramaure a consacré à ces quatre destins d’exception. Les documents sérieux manquant, il a opté pour une version très romancée en introduisant le personnage de fiction de Virginie et en prenant quelques libertés avec les dates des événements.
Est-ce ainsi que les femmes meurent ?
Catherine Kitty Genovese n'aurait pas dû sortir seule, ce soir de mars 1964, du bar où elle travaillait, une nuit de grand froid, dans le Queens, à New York. Sa mort a été signalée par un entrefilet dans le journal du lendemain : «Une habitante du quartier meurt poignardée devant chez elle.» On arrête peu de temps après le meurtrier, monstre froid et père de famille. Rien de plus. Une fin anonyme pour cette jeune femme drôle et jolie. Mais sait-on que le martyre de Kitty Genovese a duré plus d'une demi-heure, et surtout que trente-huit témoins, bien au chaud derrière leurs fenêtres, ont vu ou entendu la mise à mort ? Aucun n'est intervenu. Qui est le plus coupable ? Le criminel ou l'indifférent ? Récit saisissant de réalisme et réflexion sur la lâcheté humaine, le roman de Didier Decoin se lit dans un frisson.
Et pourquoi pas Hollywood ?
Michel Malausséna, dans son précédent livre sorti en 2008, Les Animatueurs*. s’est livré, selon ses termes, à un « suicide professionnel ». Mais grâce au succès rencontré, il remue encore et se prend désormais pour un auteur. Déterminé à s’autodétruire, il réitère avec cette biographie de jeunesse : arrivée à Paris, recherche d’emploi dans le cinéma, ballade d’une piaule à l’autre, copains drogués et copains flics, films Z, films X pour parvenir finalement à rentrer à la télévision et à se faire une place respectable.
L’armée perdue
Ve siècle avant J.-C. Un vent furieux souffle sur un petit village de Syrie. Abira, maîtresse de Xénophon, général du prince perse Cyrus le Jeune, raconte son destin, mêlé à l'un des plus grands actes d'héroïsme collectif du monde antique. Jeune femme illettrée et éperdue d'amour, elle verra son amant soulever une armée de 10000 mercenaires afin de renverser le frère du prince, Artaxerxès Il. Mais les Spartiates jetteront rapidement le trouble sur les événements et Abira découvrira qu'ils jouent un double jeu… Spectatrice de ces grandes batailles, d'importantes décisions stratégiques, et même d'errances insoutenables, Abira est plongée au coeur de l'action. Bravant la poussière des champs de bataille de l'Antiquité, l'armée des Dix Mille de Valerio Manfredi entraîne le lecteur dans un tourbillon de complots, de violence et de passions.