Christi Daugherty
Night School
Allie Sheridan vient d’être arrêtée une nouvelle fois. C’en est trop pour ses parents, qui l’envoient dans un internat. Mais l’école privée Cimmeria n’a rien d’ordinaire : elle est fréquentée par un mélange de surdoués, de rebelles et d’enfants de millionnaires. Plus étrange, certains élèves sont recrutés par la discrète « Night School ». Allie en est persuadée : on lui cache d’inavouables secrets.
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Le Directeur de nuit
Directeur de nuit au Meister Palace de Zurich, Jonathan est un idéaliste blessé. Pour venger une femme qu'il a aimée – et trahie à son insu -, il se laisse recruter comme agent secret. Il infiltre l'entourage d'un des richissimes marchands d'armes de la planète. A bord du Pacha de fer, véritable quartier général flottant, et Sur une île des Caraïbes, un nouvel amour lui donne la force de croire encore en lui-même, alors que le désarroi des services secrets et la corruption du monde l'inciteraient à lâcher prise. Notre monde inquiet, ses nouveaux dangers : un thème de choix où l'art de John le Carré se déploie, entre amour, haine et trahison.
Les noms de famille et leurs secrets
– Comment est né notre nom ? – Que signifiait-il à l’origine ? – Pourquoi l’a-t-on donné à l’un de nos ancêtres et comment a-t-il pu se transmettre jusqu’à nous, au fil d’un long parcours souvent semé d’embûches ? Spécialiste de généalogie et de l’étymologie des patronymes, bien connu pour ses émissions radiophoniques et télévisées sur ces sujets, Jean-Louis Beaucarnot analyse ici 6 000 noms de famille. Il les dissèque minutieusement et leur fait livrer tous leurs secrets. En racontant avec passion la curieuse histoire de nos vieux noms de France, ce livre nous fait découvrir et pénétrer le monde fascinant de nos ancêtres, leur langage, leurs métiers, leurs usages, leurs mentalités.
La fin d’une liaison
« Elle m’avait dit : – L’amour n’a pas de fin. Même si nous cessons de nous voir. Est-ce que les gens ne continuent pas d’aimer Dieu toute leur vie sans le voir ? – Ce n’est pas le même amour que le nôtre. – Je pense parfois qu’il n’en existe qu’un, répondit-elle. Tandis que je la guidais avec précaution à travers le vestibule démoli, l’éclairant de ma lampe de poche, elle ajouta: – Tout doit se passer très bien. Si notre amour est assez grand. Les vitres des fenêtres brisées craquaient sous nos pieds. Seul le vieux vitrail victorien au-dessus de la porte restait solide. Le verre écrasé devenait de la poudre blanche, comme la glace que les enfants piétinent dans les champs gelés ou sur les bords des routes. C’était la première nuit, en juin 1944, de ce que nous appelâmes, par la suite, les V 1. »
Le journal de Louise B.
Dans les environs d’Auxerre, en pleine campagne française, une jeune prof d’anglais, Louise Anarcange, est violée par six de ses élèves après une fête de fin d’année où elle était conviée… Le Journal de Louise B n’est pourtant pas, comme on pourrait s’y attendre, le portrait d’une génération désabusée et ultraviolente. Le thème du « viol en réunion commis par des mineurs », comme on le dit dans les journaux, n’intéresse pas le romancier. Son propos se focalise tout entier sur la psychologie de son personnage. Louise, fille unique, fille modèle, a connu les souffrances d’une éducation stricte. Son père, le Dr Anarcange, l’a protégée et peut-être trop aimée. La question de l’inceste, subtilement omniprésente, explique peut-être qu’à 31 ans elle soit toujours vierge.