Christi Daugherty
Night School – Fin de partie
Une saison pour aimer, une saison pour mourir. A Cimmeria, la paranoïa a enfin cessé: la taupe a été débusquée, mais à quel prix ! Les pertes sont lourdes et les Nocturnes, un genou à terre, sont obligés de battre en retraite pour panser leurs plaies.
Vous aimerez aussi
L’aigle de Sibérie
L’aigle de Sibérie est le seul oiseau de proie au monde capable de chasser les loups, C’est aussi le surnom du plus redoutable homme de main de Staline : Petrov. En avril 1945, à la tête d’un groupe d’opérations spéciales, Petrov est lancé à la poursuite d’un mystérieux personnage, Herr Wolf, le Loup, que le colonel SS Brumm a sauvé du bunker où Hitler et Eva Braun étaient censés s’être donné la mort. Dans une Allemagne en pleine tourmente, où se bousculent anciens nazis, agents secrets, prêtres aidant dans leur fuite les dignitaires du IIIe Reich, chasseurs et gibier engagent une poursuite mortelle… Diaboliquement conduite, fondée sur des données historiques rigoureuses, cette traque constitue un véritable morceau d’anthologie, à classer auprès des plus grands thrillers.
Le Vol du Frelon
Juin 1941. Le ciel appartient à Hitler. La plupart des bombardiers anglais tombent sous le feu ennemi. Comme si la Luftwaffe parvenait à détecter les avions… Les Allemands auraient-ils doublé les Anglais dans la mise au point de ce nouvel outil stratégique : le radar ? Winston Churchill, très préoccupé par la situation, demande à ses meilleurs agents d’éclaircir la situation, et de diriger leur enquête vers le Danemark, lieu probable du positionnement de l’engin. Harald, jeune Danois de dix-huit ans décidé à se battre contre l’occupant germanique, a découvert sur la base allemande de son île une drôle de machine. Sa découverte pourrait inverser le cours de la guerre. Mais à qui la révéler ? À qui peut-il faire confiance ? Harald en sait trop, il risque la mort. À bord du Frelon, son biplan de fortune, il va jouer sa vie pour transmettre son brûlant secret.
La baie des anges – Tome II – Le palais des fêtes
Le temps a passé. le siècle a enfin commencé. C’est à peine si les frères Revelli, ces Piémontais partis faire leur vie à Nice, se croisent encore. Quand Carlo, l’ancien maçon, construit patiemment un empire du bâtiment, Vincente enchaîne les petits boulots. Quant à Luigi, personne ne sait au juste en quoi consistent ses affaires, plus que louches. Chacun trace sa route, à sa manière – opportuniste, humble ou malhonnête -, fonde une famille… Et subit, au gré de l’Histoire, les chamboulements politiques qui décident des guerres, des amours, des ruptures. Dans ces années furieuses où tout devient possible, l’arbre généalogique bourgeonne, se métisse, s’intègre dans la capricieuse société de l’entre-deux-guerres. L’ombre fasciste grandit et la mort frappe, pour la première fois, un clan plus éclaté que jamais…
La Bible : le code secret II
« Le 11 septembre 2001, j’ai été réveillé par une explosion qui a changé à jamais la face du monde: un avion venait de s’écraser sur le World Trade Center. Je suis monté sur le toit de mon immeuble juste à temps pour voir un deuxième avion percuter les tours. Ce n’était pas un accident. C’était une attaque terroriste. » J’ai dévalé l’escalier et me suis précipité sur mon ordinateur pour scruter le code ancien, le code secret de la Bible. Je savais que j’y trouverais une confirmation, voire une révélation de ce que le sort nous réservait. » Ce dont je venais d’être témoin y était décrit, en caractères hébreux. « Tours jumelles » était codé dans l’antique texte sacré. « Avion » apparaissait précisément au même endroit. Et, transversalement à ces deux mots: « Il a causé la chute, abattu. » L’attentat du 11 septembre 2001 avait été codé dans la Bible trente siècles plus tôt. »Démontrée par un grand mathématicien, portée à la connaissance du public par un livre au retentissement mondial, l’existence d’un code caché dans le texte même de la Bible a suscité un ardent débat. Or, les prédictions du code ne cessent de se vérifier – et leur message ne peut qu’inquiéter. Sommes-nous entrés dans « la fin des jours ? »