Christi Daugherty
Night School – Résistance
Résistez à la tentation. » Le quatrième tome de la série best-seller internationale, publiée dans plus de vingt pays. Cimmeria représentait bien plus qu’une simple école pour Allie. L’académie était en effet l’unique refuge où elle se sentait vraiment à l’abri. Mais les temps ont changé, l’illusion s’est brisée en mille morceaux.
Vous aimerez aussi
Histoire de la gauche caviar
La » gauche caviar « … Est-ce une fausse gauche qui dit ce qu'il faut faire et qui ne fait pas ce qu'elle dit ? Une tribu frivole et tartuffe qui aime le peuple et se garde bien de partager son sort ? Pis encore, est-ce qu'elle n'introduirait pas, en douce, les réflexes des classes bourgeoises au sein du mouvement progressiste ? Ces gens-là seraient des traîtres, tout simplement. Dans un pamphlet polémique et historique, Laurent Joffrin analyse ce phénomène apparemment superficiel qui a joué un grand rôle et souvent fait la différence dans le jeu politique, en France comme ailleurs. La gauche caviar irrite, certes, mais constatons qu'elle a toujours reçu les renforts de nombreux bourgeois riches et éclairés. Qu'ils ont souvent dirigé des partis de gauche, servi la classe ouvrière, œuvré pour le progrès et qu'ils furent constamment pour les socialistes un éclaireur, une aide, un compagnon. De Voltaire à Zola, de Victor Hugo à Kennedy, de Philippe d'Orléans à Keynes, la gauche caviar a été composée d'hommes et de femmes de qualité, d'une efficacité décisive et qui eurent une fonction essentielle dans la marche des événements.
Le Festival de Cannes
Frédéric Mitterrand nous emmène à Cannes, lors du dernier Festival où il avait été invité à présider un jury d'enseignants. Journée après journée, il nous livre ses carnets secrets : ses rencontres, ses impressions, mais aussi les souvenirs très personnels que mémoire et mélancolie réveillent en lui. Un 'Etoile et toiles' intime où l'on croise Anna Magnani et Pedro Almodovar, Rita Hayworth, John Huston et tant d'autres : la magie du septième art se mêle aux confessions d'un homme qui écrit pour « se consoler comme il peut de ses remords ».
La baie des anges – Tome I
Par centaines, en cette année de disgrâce de 1880, ils fuient leur Piémont italien, leur terre de misère qui ne les nourrit plus. A la mort de leur mère, après six jours de marche, les frères Revelli découvrent les lumières de Nice, comme la promesse d’une vie nouvelle. La ville ne tarde pas à transformer ces hommes frustes, intelligents et assoiffés de dignité. L’énergique et ambitieux Carlo Revelli s’impose sur les chantiers de construction. Vincente entre au service du docteur Merani, notable influent, de même que Luigi, le plus jeune et le plus séduisant des trois. Mais ce dernier semble choisir le mauvais chemin, celui des affaires louches et dangereuses. Il faudra très peu de temps pour faire d’eux des Français à part entière.
La mauvaise vie
À chaque étape de sa journée, il se demande s’il ne fait pas fausse route. S’interroge sur l’abîme séparant la « mauvaise vie » qu’il mène, d’une autre, qui aurait pu s’accomplir. Pourquoi vouloir à tout prix reconstituer un simulacre de famille ? Perdre son temps à faire de la radio alors qu’on est doué pour l’écriture ? Devenir spécialiste des princes et des princesses alors qu’on se passionne pour les peuples opprimés ? Et puis il y a les nuits qui, elles aussi, ne devraient pas être celles ce qu’elles sont… Au fil de ces réflexions, le personnage regarde en arrière, et retrouve des moments de son enfance… L’autobiographie la plus juste n’est-elle pas celle de la vie qu’on aurait dû mener ?