Christi Daugherty
Night School – Résistance
Résistez à la tentation. » Le quatrième tome de la série best-seller internationale, publiée dans plus de vingt pays. Cimmeria représentait bien plus qu’une simple école pour Allie. L’académie était en effet l’unique refuge où elle se sentait vraiment à l’abri. Mais les temps ont changé, l’illusion s’est brisée en mille morceaux.
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Deux ou trois choses à vous dire
Notre pays a encore une chance de recoller à la marche du monde et de retrouver son rang. La France a rendez-vous avec les autres, tous les autres, de l’Est à l’Ouest : il n’est pas trop tard pour faire de ce rendez-vous un moment de reconquête. Mais cela ne pourra se faire qu’à deux conditions. Il nous faudra d’abord accepter la nécessaire remise en cause que nous fuyons depuis tant d’années. Tracer ensemble un projet collectif dans lequel chacun se reconnaisse et par lequel chacun retrouve l’espoir. Ne pas se contenter de défendre ses anciennes conquêtes mais en préparer d’autres, ne pas se crisper sur ses avantages devenus caducs mais adapter ses exigences aux transformations de la planète, ne pas refuser la mondialisation mais s’en servir, la tordre vers des progrès nouveaux. Il nous faudra ensuite accepter de passer quelques années difficiles, mais nécessaires, comme l’ont fait tous nos partenaires.
Les noms de famille et leurs secrets
– Comment est né notre nom ? – Que signifiait-il à l’origine ? – Pourquoi l’a-t-on donné à l’un de nos ancêtres et comment a-t-il pu se transmettre jusqu’à nous, au fil d’un long parcours souvent semé d’embûches ? Spécialiste de généalogie et de l’étymologie des patronymes, bien connu pour ses émissions radiophoniques et télévisées sur ces sujets, Jean-Louis Beaucarnot analyse ici 6 000 noms de famille. Il les dissèque minutieusement et leur fait livrer tous leurs secrets. En racontant avec passion la curieuse histoire de nos vieux noms de France, ce livre nous fait découvrir et pénétrer le monde fascinant de nos ancêtres, leur langage, leurs métiers, leurs usages, leurs mentalités.
La mauvaise vie
À chaque étape de sa journée, il se demande s’il ne fait pas fausse route. S’interroge sur l’abîme séparant la « mauvaise vie » qu’il mène, d’une autre, qui aurait pu s’accomplir. Pourquoi vouloir à tout prix reconstituer un simulacre de famille ? Perdre son temps à faire de la radio alors qu’on est doué pour l’écriture ? Devenir spécialiste des princes et des princesses alors qu’on se passionne pour les peuples opprimés ? Et puis il y a les nuits qui, elles aussi, ne devraient pas être celles ce qu’elles sont… Au fil de ces réflexions, le personnage regarde en arrière, et retrouve des moments de son enfance… L’autobiographie la plus juste n’est-elle pas celle de la vie qu’on aurait dû mener ?
Le journal de Louise B.
Dans les environs d’Auxerre, en pleine campagne française, une jeune prof d’anglais, Louise Anarcange, est violée par six de ses élèves après une fête de fin d’année où elle était conviée… Le Journal de Louise B n’est pourtant pas, comme on pourrait s’y attendre, le portrait d’une génération désabusée et ultraviolente. Le thème du « viol en réunion commis par des mineurs », comme on le dit dans les journaux, n’intéresse pas le romancier. Son propos se focalise tout entier sur la psychologie de son personnage. Louise, fille unique, fille modèle, a connu les souffrances d’une éducation stricte. Son père, le Dr Anarcange, l’a protégée et peut-être trop aimée. La question de l’inceste, subtilement omniprésente, explique peut-être qu’à 31 ans elle soit toujours vierge.