- Home
- >
- Langue étrangère
- >
- One day in the life of Ivan Denisovich
Alexander Solzhenitsyn
One day in the life of Ivan Denisovich
En Anglais – – First published in the Soviet journal Novy Mir in 1962, One Day in the Life of Ivan Denisovich stands as a classic of contemporary literature. The story of labor-camp inmate Ivan Denisovich Shukhov, it graphically describes his struggle to maintain his dignity in the face of communist oppression. An unforgettable portrait of the entire world of Stalin’s forced work camps, One Day in the Life of Ivan Denisovich is one of the most extraordinary literary documents to have emerged from the Soviet Union and confirms Solzhenitsyn’s stature as « a literary genius whose talent matches that of Dosotevsky, Turgenev, Tolstoy »–Harrison Salisbury
Vous aimerez aussi
Histoire de la collaboration
A l’automne 1941, l’Armée rouge est en pleine déroute. A Londres, le général de Gaulle confie à son chef d’état-major, le futur général Billotte : » Si les Allemands l’emportent, ce seront Pétain, Laval, Déat qui auront eu raison et j’aurai nui à la France… « . Ce document, parmi beaucoup d’autres qu’a retrouvés Dominique Venner, jette un éclairage neuf sur la période la plus dramatique et la plus discutée de notre histoire : Vichy et la Collaboration. Mais qu’est-ce que la Collaboration ? Pourquoi y trouve-t-on tant de soldats glorieux, Pétain, Darnand, Bucard, Paul Chack, Bassompierre ? Pourquoi tant d’écrivains fameux, Céline, Giono, Morand, Guitry, Montherlant, Chardonne, Pierre Benoit, Brasillach, Drieu la Rochelle ? Pourquoi les premiers partisans de la Collaboration venaient-ils de la gauche et du syndicalisme ? Pourquoi rencontre-t-on beaucoup plus de socialistes à Vichy que dans la Résistance ?
La collection Brading
La délicieuse Miss Silver est comme d’habitude occuper à tricoter quand Lewis Brading vient lui rendre visite. L’homme est propriétaire d’une célèbre collection de bijoux, gardée dans une annexe qui semble inviolable. Mais Brading a tout de même peur, entre autres de son employé, un ancien faussaire. Maud Silver commence par lui refuser son aide… Mais elle est très vite rongée de remords quand la presse annonce le meurtre de Brading. Cette fois, la célèbre détective privée ne pourra résister à l’envie de faire la lumière sur cet assassinat. Inédit en France, ce roman permet au lecteur de plonger dans le curieux monde des collectionneurs.
Simple vengeance
L'histoire très mouvementée de trois jeunes femmes trahies par leurs maris, profondément blessées mais bien déterminées à avoir le dernier mot. Lorsque le soir de leur premier anniversaire de mariage, Reid, play-boy aussi séduisant que désinvolte, lui avoue ses incartades, Angela tombe de haut. Partie se réfugier dans la paisible banlieue new-yorkaise où vivent ses parents, elle met son talent d'avocat au service d'une association dédiée à la cause des femmes. Là, elle rencontre Jada, une jeune mère afro-américaine acculée au désespoir par les manigances de Clinton, mari infidèle et chômeur professionnel, et son amie Michelle, qui vient de découvrir que son bonheur conjugal et familial reposait sur un odieux mensonge. Auprès d'elles, Angela trouve des âmes sœurs avec qui partager sa douleur, sa révolte, et l'espoir, peut-être, d'un nouveau départ. Mais comment passer outre au ressentiment quand, dans le clan des maris, on multiplie sans vergogne coups bas et marchés de dupes ? Puisqu'il faut bien se défendre, les trois jeunes femmes, solidaires pour le meilleur et pour le pire, imaginent, entre rires et larmes, une vengeance sur mesure pour chacun des traîtres…
Le nez d’un notaire
Maître Alfred L’Ambert, ayant perdu son nez au cours d’un duel, décide de se faire greffer un morceau de peau pour le remplacer. Il ne trouve pour donneur qu’un jeune ouvrier fort peu fréquentable, au bras duquel il devra passer trente jours le nez cousu. La cohabitation ne sera pas sans difficultés ni surprises.Edmond About (1828-1880 fut l’un des rares auteurs français comiques du XIXe siècle. Dans le Nez d’un notaire, roman à succès dès sa publication en 1862, il multiplie les situations cocasses et réinvente avec humour l’union des classes.