- Home
- >
- Langue étrangère
- >
- One day in the life of Ivan Denisovich
Alexander Solzhenitsyn
One day in the life of Ivan Denisovich
En Anglais – – First published in the Soviet journal Novy Mir in 1962, One Day in the Life of Ivan Denisovich stands as a classic of contemporary literature. The story of labor-camp inmate Ivan Denisovich Shukhov, it graphically describes his struggle to maintain his dignity in the face of communist oppression. An unforgettable portrait of the entire world of Stalin’s forced work camps, One Day in the Life of Ivan Denisovich is one of the most extraordinary literary documents to have emerged from the Soviet Union and confirms Solzhenitsyn’s stature as « a literary genius whose talent matches that of Dosotevsky, Turgenev, Tolstoy »–Harrison Salisbury
Vous aimerez aussi
Scarlet Feather
En Anglais – Set in contemporary Ireland, filled with warmth, wit, and drama, Scarlet Feather is the story of Cathy Scarlet and Tom Feather, their spouses, families, and friends, and the struggling new catering business that transforms their lives in ways big and small.
Combustion
Un tueur machiavélique, qui se sert du feu pour couvrir la trace de ses crimes : aux yeux de Kay Scarpetta, cela pourrait n’être qu’une enquête de plus. Mais elle acquiert la conviction que son ennemie mortelle, Carrie Grethen, évadée de sa prison new-yorkaise, est mêlée à ces meurtres. Lorsque Carrie prend pour cible sa nièce, Lucy, l’enquête revêt une dimension personnelle, et la tragédie la rattrape… Avec ce dixième roman, vendu à plus d’un million d’exemplaires aux États-Unis, Patricia Cornwell offre à ses innombrables « fans » un nouveau chef-d’œuvre, aussi fort que PostMortem ou Une mort sans nom. Un suspense où Kay Scarpetta, tour à tour forte et fragile, désemparée et implacable, se révèle plus attachante que jamais.
L’Africaine
Une vision fascinante de l’Afrique : celle, mythique des expatriés ( avec l’exotisme des grands espaces et l’illusion de la liberté), par rapport à l’Afrique réelle, qui s’enfonce dans la guerre et dans la misère. Une narration subtile, sensible, dans un style vigoureux, très évocateur. Esmé, désespérée par la mort de son père, célèbre poète italien, se retrouve au Kenya, auprès d'un golden boy. Au contact de ce pays mystérieux, elle décide de ne plus retourner à Rome et tombe amoureuse d'Adam, organisateur de Safaris, qui la fascine. C'est à Nairobi qu'Esmé apprend les règles de la vie africaine. Non pas celles des Noirs, qui semblent encore vivre en état de colonisation, mais celle d'une caste de Blancs expatriés, monde d'illusion et de pouvoir, dans une atmosphère d'alcool, de drogue et de sexe …
Un jour, ils auront des peintres
« Vous comprendrez, quand vous verrez l’Amérique, qu’un jour ils auront des peintres, parce que ce n’est pas possible, dans un pays pareil, qui offre des spectacles visuels aussi éblouissants, qu’il n’y ait pas de peintres un jour ». La prophétie date de 1933. Comme tous les autres Européens de retour des Etats-Unis, Matisse se dit envoûté Il annonce l’avènement d’une nouvelle ère, celle des peintres américains. Tout commence à Paris, le 1er juilet 1867, dans les fastes de l’Exposition Universelle : après la guerre de Sécession, les paysagistes d’outre-Atlantique, qui forment la première véritable école de leur pays, retrouvent, optimistes, le chemin de l’Europe. Mais les critiques français leur réservent ricanements et sarcasmes : « Cette exposition est indigne des fils de Washington. Au milieu de nos vieilles civilisations, les Américains font l’effet d’un géant fourvoyé dans une salle de bal. » … L’épopée des peintres américains racontée par Annie Cohen-Solal nous transporte de Paris à New-York, de Giverny à Chicago, de Pont-Aven à Taos, au Nouveau-Mexique, et s’achève à la Biennale de Venise, en 1948, lorsque sont présentées, pour la première fois en Europe, huit toiles de Jackson Pollok, un artiste inconnu des Européens de l’époque, mais bientôt célébré dans le monde entier comme le premier véritable maître américain.