Paul Morand,Esrkine Caldwell, Marcel Jouhandeau, D. H. Lawrence, Robert André, Félicien Marceau, Francis Walder, Liliana Magrini, Hélène Cixous, Pierre Rouanet
Pack 10 Romans divers (soit le livre à 400 F)
Soit le livre à 400 F
Paul MORAND : Tais-toi
Esrkine CALDWELL : Un p’tit gars de Géorgie
Marcel JOUHANDEAU : Azaël
D. H. LAWRENCE : La verge d’Aaaron
Robert ANDRE : Le regard de l’Egyptienne
Félicien MARCEAU : Creezy
Francis WALDER : Saint-Germain ou la négociation
Liliana MAGRINI : Carnet Vénitien
Hélène CIXOUS : Dedans
Pierre ROUANET : Castell
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Muchachas
Les filles sont partout dans ce roman. Elles mènent la danse. De New York à Paris, de la Bourgogne à Londres ou à Miami. Des filles qui inventent, s’enflamment, aiment. Des filles qui se battent pour la vie. Et les hommes ? Ils sont là aussi. Mais ce sont les muchachas qui dansent, dansent, dansent. Elles font voler les destins en éclats. Et ça n’en finit pas !
Pack 10 Romans divers (G.F.) – 4 (soit le livre à 500 F)
- Jostein Gaarder : Le Monde de Sophie
- Thomas Keneally : La liste de Schindler
- Miklos Batori : La vie est un océan
- William Burroughs : Le festin nu
- Régine Deforges : Le Diable en rit encore
- Régine Deforges : 101, avenue Henri Martin
- Christine Arnothy : Malins plaisirs
- Dominique Bona : Les yeux noirs
- Mickey Spillane : Le Dogue
- Christine de Rivoyre : Boy
Millénium – Tome 1 – Les hommes qui n’aimaient pas les femmes
Millénium est à l'origine une trilogie de romans policiers de l'écrivain suédois Stieg Larsson, publiée en Suède de juillet 2005 à mai 2007 après son décès d'une crise cardiaque à l'âge de 50 ans. Cette saga — titrée Millennium, dans les éditions en suédois et dans diverses autres langues (allemand, anglais, espagnol, etc.) — a obtenu un succès mondial : plus de vingt-six millions d'exemplaires vendus jusqu'en juillet 2010. Fin janvier 2011, le total des ventes s'élevait à cinquante millions d'exemplaires.
La tragédie du président
On ne se méfie jamais assez des journalistes. Pour n'avoir pas à courir derrière une mémoire qui n'a jamais cessé de me fuir, je prends des notes. C'est ainsi que, depuis plus de quinze ans, j'ai consigné sur des cahiers à spirale la plupart de mes conversations avec Jacques Chirac. Alors que son règne arrive à son couchant, il m'a semblé qu'il était temps de vider mes carnets. Je ne les avais pas écrits pour qu'ils restent à rancir au fond d'un tiroir mais parce que le métier qui mène mes pas consiste à faire la lumière sur tout. Telle est sa grandeur et sa misère. Si l'on veut garder sa part d'ombre, il ne faut pas fréquenter les journalistes. Ceci n'est donc pas une biographie au sens propre mais plutôt l'histoire d'une tragédie personnelle, devenue, sur la fin, une tragédie nationale.