Jean-Michel Billioud
Passion rugby – Questions ? Réponses !
Qui a inventé le rugby ? Pourquoi le ballon est-il ovale ? Faut-il être un géant pour jouer ? L’esprit rugby, ça s’apprend ? Qui surnomme-t-on les » gros » ? Que fait le capitaine avant un match ? Tous les joueurs ont-ils les oreilles en chou-fleur ? Comment inscrit-on un essai ? Springboks, Wallabies, Pumas… qui sont ces animaux ? 32 questions pour découvrir les valeurs du rugby, ses règles et usages, qui rassemblent les passionnés de tous les âges !
Vous aimerez aussi
Ma mauvaise réputation
« Je suis un président énervant. C’est inscrit dans mon caractère. Et ça me plaît. » Mourad Boudjellal, l’emblématique président du Rugby Club Toulonnais, est réputé pour ses coups de gueule qui secouent régulièrement le monde de l’Ovalie. Pour la première fois, ce fils d’immigrés algériens déroule le fil de sa vie trépidante. Il raconte ses racines, ses succès en BD, et pose son regard acéré sur le monde du sport et sur l’ensemble de la société. L’histoire d’un homme, rapportée avec humour, sincérité et franc-parler.
Borg, McEnroe
L'âge d'or du tennis s'est soudainement effondré lors de l'US Open 1981 quand le stoïque Suédois Bjorn Borg a perdu face à son jeune rival, John McEnroe, lors de la finale à Flushing Meadows. A travers l'objectif de la phase finale de cette époque, et le jeu des autres demi-finalistes Jimmy Connors et Vitas Gerulaitis, ce livre raconte la vie et la carrière des hommes qui ont fait ces jours du Far West du tennis si mémorable : « Ice Borg », qui nourrissait secrètement un fou intérieur ; McEnroe, le génie torturé ; Connors, le bien-aimé des cols bleus, anti-héros du jeu ; Ilie Nastase, le clown roumain ; Gerulaitis, le charmeur de New York, et Ivan Lendl, qui est devenu un signe avant-coureur du futur tennis de haute puissance. Les luttes de ces hommes étaient aussi féroces sur le terrain, qu'en dehors. L'auteur concentre également une grande partie de son travail en décrivant l'évolution du tennis mondial, et sa transition vers le jeu moderne. Les rivalités et les tensions qui ont marqué les années 70-80 du tennis sont merveilleusement décrites.
Le sportif peut-il être en forme au lit et dans le stade ? Quelles sont les conséquences de la vie privée sur la performance sportive (et inversement) ? Peut-on mener de front vie sensuelle et carrière sportive ou bien faut-il mettre entre parenthèses sa libido le temps de récolter quelques médailles ? Depuis des décennies, ces questions délicates obsèdent les vestiaires et restent sans réponses ; il est grand temps de briser la loi du silence qui prévaut en ce domaine. Et ce d’autant plus que – on le devine ici au travers de nombreux témoignages d’athlètes, d’entraîneurs et de médecins du sport – le sexe tient une place prépondérante dans la vie du sportif et influe de façon déterminante sur ses résultats. Si les dirigeants, les entraîneurs, maîtrisent presque parfaitement tous les paramètres de la compétition, l’activité sexuelle du sportif continue d’être abordée par les responsables fédéraux avec un empirisme plus ou moins heureux. Malgré l’évolution des mœurs, l’attitude du monde sportif concernant » la sexualité athlétique » reste indécise et maladroite. En explorant, un par un, tous les pans de la sexualité du monde sportif, Tristan Alric lève d’abord avec brio un coin du voile qui recouvre encore trop souvent la vie sensuelle des champions du stade. Mais en abordant aussi les questions pratiques (quel sport pour la sportive enceinte ? quelle sexualité pour le sportif blessé ? etc.), il apporte des éléments d’information et de réflexion utiles aux sportifs soucieux d’harmoniser vie sensuelle et pratique sportive au plus haut niveau.
Les gueux du stade (vie et mort du sport belge)
La Belgique est un pays d’images, de signes et de symboles, où toutes les vérités sont prises nécessairement pour les lanternes. Heureusement, d’ailleurs : cette éprise quotidienne est la condition de son existence. Les belges sont contraints de s’imaginer tels qu’ils ne sont pas : comme des gens « à qui on ne la fait pas », par exemple. Des sceptiques, des finauds, des grands pragmatiques. Alors qu’ils sont ballottés par les évènements et gouvernés par les émotions. Au point que leur mythologie elle-même est sujette à d’infinies variations. Comme pour toutes les nations au XXème siècle, le sport a été en Belgique un puissant constituant mythologique. Mais en vain, le réel, ici, n’a jamais rejoint le fantasme. Au contraire, il s’en est éloigné. Le mythe sportif belge a vécu sa propre vie, à l’écart des réalités nationales. Ce mythe rappelle ces tableaux d’Ensor où tant de personnages s’avancent masqués : la Belgique de 1830 est morte, mais elle continue à grimacer sous le masque des Diables rouges et de quelques champions, de moins en moins nombreux ….