- Home
- >
- Spiritualité
- >
- Pèlerinages
Kazuyoshi Nomachi
Pèlerinages
Le pèlerinage est un lieu de prière ou un voyage réalisé dans un esprit de dévotion et de piété. Toutes les religions possèdent des lieux de dévotion où leur fidèles se rendent en pèlerinage, cette pratique constituant le plus souvent une expérience rituelle essentielle. Chrétiens, juifs, musulmans, bouddhistes .la démarche de recherche de soi, des autres et de Dieu, est universelle et l’auteur, le photographe japonais Kazuyoshi Nomachi nous propose de nombreuses routes de prières, souvent dans des pays pauvres et reculés où les pèlerins s’éloignent des tourments du monde pour se ressourcer et revitaliser leur foi. L’ouvrage nous emmène dans de fabuleux voyages vers les lamasseries du Tibet, la vallée du Nil berceau des religions ou vers des pèlerinages chrétiens d’ailleurs en Ethiopie ou encore vers les cimes péruviennes des Andes, partout où les pèlerins de toutes origines ressentent le besoin « d’arrêter le monde » et de revitaliser leur foi.
Vous aimerez aussi
La Querelle religieuse
Si l’on veut garantir pleinement la liberté religieuse, il faut permettre aux croyants des différentes religions de pratiquer leur culte. Dans la société pluriculturelle qui est aujourd’hui la nôtre, où se mêlent dorénavant les traditions religieuses, le libre exercice des cultes se heurte à de nombreuses difficultés. Désormais, la République française ne peut ignorer le fait religieux. Ce livre retrace l’histoire des relations entre les Églises et l’État depuis le début de notre ère jusqu’à aujourd’hui. Il contribue ainsi à éclairer le débat actuel et fait le point sur les problèmes posés par la montée des intégrismes, notamment du phénomène sectaire.
Jean-Marie Lustiger, cardinal républicain
Actes du colloque tenu au Collège des Bernardins le 9 décembre 2008, organisé par le Service Pastoral d’Études Politiques, en partenariat avec l’Institut Jean-Marie Lustiger et le Collège des Bernardins. « Le 10 août 2007, lors des obsèques de Jean-Marie Lustiger, sont présents – fait inédit pour un archevêque de Paris – le Président de la République, les Présidents de l’Assemblée Nationale et du Sénat, la moitié du Gouvernement et de nombreux parlementaires, sans oublier Lech Walesa, le héros de Gdansk, la figure emblématique de la résistance paisible, efficace, spirituelle au totalitarisme communiste. Pourquoi ? Si ce n’est parce que beaucoup ont reconnu en Jean-Marie Lustiger un interlocuteur singulièrement précieux, un pasteur à la parole vigoureuse, libre, dérangeante mais capable aussi de rejoindre vraiment ses interlocuteurs et de les éveiller aux enjeux les plus profonds. » Sont présentées dans ce volume les contributions de : Philippe Portier, Dominique Wolton, Eric de Moulins-Beaufort, Philippe Vallin, Alain Madelin, Jean-Luc Marion, Jean-Pierre Raffarin, François Bayrou, Manuel Valls et du cardinal André Vingt-Trois. On y lira également les extraits inédits de l’audition du Cardinal Lustiger devant la « Commission de réflexion sur l’application du principe de la laïcité dans la République », 23 septembre 2003.
The political ideas of St Thomas Aquinas
En Anglais – St. Thomas Aquinas, the chief spokesman of medieval scholasticism, was born at Aquino, a tiny place near Naples and from the name of the place he received the title Aquinas. But he is better known as Thomas and his thought is known to us as Thomism. He belonged to an aristocratic Italian family which had connections with European kings and emperors. In order to be a church father and to devote his life to the cause of Christianity and study he surrendered his title “Count.” He joined the Dominican Order at the age of nineteen and for this purpose he had to fight his family. He studied in Naples, Cologne and Paris and in the last mentioned place he delivered several lectures on philosophy and theology. At the age of forty- eight he died.
La vie de saint Paul – Tome III – L’homme qui devint Dieu
Saül, notre saint Paul, est exceptionnel à maints égards. II est le seul saint du calendrier qui ait participé à l’assassinat d’un autre, Étienne. Il est l’ « inventeur » de l’Église : ce sont ses missions qui ont fondé les premiers grands centres chrétiens à l’extérieur de Jérusalem. Mais ce n’est pas tout… Assurément, il était citoyen romain. Mais comme il se prétend également juif et qu’il était à l’époque impossible d’être officiellement juif et citoyen romain, car on ne pouvait à la fois adorer Jupiter et Jéhovah, il y a là un mystère. Et le mystère s’épaissit quand on apprend par les Actes que, lors de son arrestation, les Romains lui assignèrent une escorte extraordinaire, avec quatre cent soixante-dix archers et soldats. Ce n’étaient certes pas les honneurs qu’ils réservaient d’ordinaire à leurs prisonniers. Quel était donc le rang de Saül ? Pourquoi trois préfets romains le protègent-ils avec tant d’obstination? Autre mystère, mais non le dernier : il se dit originaire de Tarse; à l’examen encore, cela apparaît douteux, comme l’avait déjà relevé saint Jérôme au IVe siècle. Pourquoi Saül dissimule-t-il sa véritable origine ? Quelle est, entre autres mystères, la raison profonde de sa longue et violente querelle, ponctuée d’injures telles que « hypocrite » et « mauvais chrétien », avec les apôtres Pierre, Jacques le Mineur et Jean ?