Christian Target, Serge Valentin, Jean-émile Mazer
Pratique de la planche à voile 1 – Initiation et perfectionnement
Les deux tomes du livre » Pratique de la planche à voile » s’enchainent en une suite logique. Ils s’adressent à tous ceux qui veulent apprendre seuls, qui veulent s’informer ou qui désirent enseigner. Le premier concerne les pratiques désireux de s’initier ou de se perfectionner. Avec le support théorique, c’est le tronc commun nécessaire aux différentes pratiques.
Vous aimerez aussi
Les gueux du stade (vie et mort du sport belge)
La Belgique est un pays d’images, de signes et de symboles, où toutes les vérités sont prises nécessairement pour les lanternes. Heureusement, d’ailleurs : cette éprise quotidienne est la condition de son existence. Les belges sont contraints de s’imaginer tels qu’ils ne sont pas : comme des gens « à qui on ne la fait pas », par exemple. Des sceptiques, des finauds, des grands pragmatiques. Alors qu’ils sont ballottés par les évènements et gouvernés par les émotions. Au point que leur mythologie elle-même est sujette à d’infinies variations. Comme pour toutes les nations au XXème siècle, le sport a été en Belgique un puissant constituant mythologique. Mais en vain, le réel, ici, n’a jamais rejoint le fantasme. Au contraire, il s’en est éloigné. Le mythe sportif belge a vécu sa propre vie, à l’écart des réalités nationales. Ce mythe rappelle ces tableaux d’Ensor où tant de personnages s’avancent masqués : la Belgique de 1830 est morte, mais elle continue à grimacer sous le masque des Diables rouges et de quelques champions, de moins en moins nombreux ….
Tout seul
Début décembre, l’AFP s’est procuré des communiqués annonçant le livre « Tout seul » de Raymond Domenech : « Chaque chapitre porte les traces de son long combat de sélectionneur avec Zinedine Zidane, Nicolas Anelka, Thierry Henry ou les plus jeunes joueurs d’une génération perdue » et fait état des « heures heureuses de la Coupe du monde 2006 » (finale perdue contre l’Italie aux tirs au but) et les moments où « on sent monter les difficultés et le malaise, dont Raymond Domenech ne se détourne pas ». A 60 ans, Raymond Domenech a signé un livre sans « surprises, révélations, regrets », donc rien de très croustillant, mais un « témoignage sincère, sans langue de bois ni volonté de minimiser ses propres erreurs ». Une sorte de mea-culpa alors ? Après la défaite face à l’Afrique du Sud lors de la coupe du monde 2010, Raymond Domenech a quitté ses fonctions de sélectionneur, son contrat se terminant le 31 juillet 2010. C’est Laurent Blanc qui lui a succédé, puis, le 8 juillet 2012, Didier Deschamps a été nommé sélectionneur de l’équipe de France.
Tout le monde peut jouer au Bridge
Accessible à tous, même aux enfants, Tout le monde peut jouer au bridge est devenu le livre indispensable pour tous ceux qui souhaitent s’initier à ce jeu passionnant qu’est le bridge. Ecrit par les deux plus grands spécialistes du bridge Pierre Jaïs (trois fois champion du monde) et Michel Lebel (deux fois champion du monde), qui sont également les auteurs de 15 titres aux Editions du Rocher dont la célèbre Nouvelle Majeure Cinquième.
Le Phénix – Le retour de Bernard Tapie
Alors que Bernard Tapie était en prison, pour avoir truqué un match de l’Olympique de Marseille et surtout pour s’être moqué pendant des années des lois et des magistrats, son fils Laurent, réunissant quelques journalistes, leur avait raconté une histoire à dormir debout : ce n’est pas Tapie qui avait escroqué le Crédit Lyonnais, au début des années 1990, comme tout le monde le disait alors, mais le contraire. Encore une entourloupe de l’homme d’affaires déchu ? Et pourtant, Laurent Tapie avait raison. Le 7 juillet 2008, au terme d’un véritable Everest judiciaire, un tribunal arbitral a condamné sans appel le CDR à verser 285 millions d’euros – auxquels s’ajouteront les intérêts – aux liquidateurs des sociétés de Bernard Tapie, au titre du manque à gagner et du préjudice moral. Non seulement la banque, alors publique, a capté une plus value de près de 2 milliards de francs sur la vente d’Adidas qui aurait dû revenir à celui qui était alors ministre de Pierre Bérégovoy, mais elle l’a en outre mis délibérément en situation de banqueroute, l’empêchant de briguer la mairie de Marseille…

