- Home
- >
- Langue étrangère
- >
- Private screening
Richard North Patterson
Private screening
The nation is stunned silent when presidential hopeful James Kilcannon is shot dead in front of his rock-star girlfriend Stacy Tarrant. Fiercely independent attorney Tony Lord dares to defend the shooter, but the already bizarre plot takes another twist. As America watches, a mysterious and ruthless figure, known only as Phoenix, takes to the airwaves– and takes the wife of a wealthy newspaper mogul and Stacy’s manager as his hostages. Phoenix mounts a televised trial of his own–in which Stacy Tarrant and Tony Lord are helpless defendents, millions of viewers are jurors, and–unless his chilling demands are met–Pheonix is the unstoppable executioner….
Vous aimerez aussi
Je l’écoute respirer
Dans une maison où les oiseaux de passage et les chats en vadrouille rappellent à chaque instant l’insouciance de la vie, une femme est en train de mourir. Elle a quatre-vingt-dix ans, une beauté dont ni les rides ni la maladie n’ont abîmé les traits, et comme une sagesse intérieure qui se devine derrière le souffle lent de cette silencieuse agonie. // Anne Philippe, sa fille, écoute respirer celle qui va disparaître, mais dans ces lieux dont chaque objet, chaque meuble, évoque sa propre enfance, c’est aussi la musique des chemins, Anne Philippe sent battre simultanément le pouls du passé, de l’avenir, et d’un présent qui s’apprête à tomber dans l’imparfait.Dans une langue débarrassée de tout lyrisme, Anne Philippe nous parle différemment de ce que tout le monde a vécu un jour ou l’autre : l’impuissance de l’homme devant une disparition inéluctable, et, pourtant, le miracle de la vie qui reprend son cours, jusqu’au prochain barrage. Ici, une respiration qui cesse, là-bas, une respiration qui commence, et, ailleurs, l’incompréhensible respiration de l’infini
Pour rétablir une vérité
Non achevé au moment du décès de son auteur, il a été mis en ordre et publié selon les souhaits de Pompidou par sa veuve, Claude Pompidou et par Jean-François Saglio. Le titre Pour rétablir une vérité n’a pas été choisi par l’auteur lui-même et est un extrait des premières pages de la partie sur mai 1968. Il expose dans l’introduction une conception d’un pouvoir solitaire où le président après avoir écouté les avis décide au final seul.
Panique à la Maison-Blanche (Série Dirk Pitt – 7)
Golfe de Cook, Alaska. Un SOS vient d’arriver… Le Catawba, un garde-côte, fonce à la rescousse. Le bateau en détresse émerge soudain du rideau de pluie. Les ponts sont déserts et les appels du Catawba restent sans réponse. À bord de l’Amie Marie, tous sont morts, même le chat. Un autre appel désespéré arrive alors du pilote d’un avion livrant du matériel à une équipe de scientifiques sur l’île Augustine, située à 30 milles au nord-est de la position du Catawba : «Savants tous morts, sauvez-moi.» Ainsi commence pour Dirk Pitt, le très séduisant agent secret américain, héros de L’Incroyable Secret, l’affaire la plus difficile de toute sa carrière : une infernale machination dont dépend la liberté du monde. De Washington au Kremlin, de l’Alaska aux Caraïbes, Dirk Pitt nous entraîne sur – et sous – les océans, dans une course implacable.
La Guerre de cent ans
L’auteur de Philippe le Bel s’attache aujourd’hui à ce long siècle qui suivit la mort des derniers Capétiens. Mais fallait-il écrire l’histoire d’une guerre ? Jean Favier montre que ce conflit n’est pas seulement phénomène en soi, il exprime les mouvements profonds qui animent la société médiévale : par-delà les batailles – où il arrive que le sort d’un royaume se joue en quelques quarts d’heure -, la guerre devient facteur déterminant des infléchissements de l’histoire dès lors que le noble et le clerc, le bourgeois et le paysan pensent et se comportent en fonction de cette guerre. Qu’elle soit réelle ou supposée, proche ou lointaine, voilà qui change peu cet horizon mental qu’est la guerre pour cinq générations qui ont su qu’elle faisait partie de leur vie. La guerre de Cent ans a été le lot commun des individus comme des groupes humains, celui des féodaux encore pris dans leurs fidélités contractuelles, celui des officiers royaux découvrant le service de l’Etat à mesure qu’ils le conçoivent, celui des maîtres de l’Université que leurs engagements intellectuels mènent à des conflits qui n’étaient point les leurs.

