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Daphné du Maurier
Rebecca
En anglais – The novel begins in Monte Carlo, where our heroine is swept off her feet by the dashing widower Maxim de Winter and his sudden proposal of marriage. Orphaned and working as a lady’s maid, she can barely believe her luck. It is only when they arrive at his massive country estate that she realizes how large a shadow his late wife will cast over their lives–presenting her with a lingering evil that threatens to destroy their marriage from beyond the grave.
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Neither here nor there
En Anglais – Bill Bryson’s first travel book, The Lost Continent, was unanimously acclaimed as one of the funniest books in years. In Neither Here nor There he brings his unique brand of humour to bear on Europe as he shoulders his backpack, keeps a tight hold on his wallet, and journeys from Hammerfest, the northernmost town on the continent, to Istanbul on the cusp of Asia. Fluent in, oh, at least one language, he retraces his travels as a student twenty years before…Whether braving the homicidal motorist of Paris, being robbed by gypsies in Florence, attempting not to order tripe and eyeballs in a German restaurant, window-shopping in the sex shops of the Reeperbahn or disputing his hotel bill in Copenhagen, Bryson takes in the sights, dissects the culture and illuminates each place and person with his hilariously caustic observations. He even goes to Liechtenstein…
Notre homme à la Maison-Blanche
Comment un petit gangster d’origine italienne, Sam Giancana, a-t-il pu décider de faire assassiner John F. Kennedy qu’il avait pourtant contribué à faire élire cinq ans plus tôt ? De quelles complicités a-t-il bénéficié au sein d’une CIA traumatisée par l’échec de « la baie des Cochons » ? Pourquoi Jack Ruby, l’assassin de Lee H. Oswald, avait-il ses entrées au siège de la police de Dallas ? Notre homme à la maison-blanche – c’est ainsi que Sam Giancana appelait le président- nous montre pour la première fois la mafia vue de l’intérieur et dévoile le mystère qui régnait depuis près de trente ans autour de cette tragédie. Faisant ses débuts dans le Chicago de la prohibition dominé par Al Capone, Sam Giancana reculera devant aucun moyen pour construire son empire dont les frontières s’étendront bien au-delà des États-Unis dans les années 60. Cette description assez effrayante du double jeu entre le pouvoir et le crime organisé, qui va bouleverser l’opinion, bouscule bien des légendes. On y découvre une haute société où le père d’un futur président fait allégeance à l’un des parrains du Milieu, s’engageant au nom de son fils pour sauver sa propre vie. Hollywood apparaît aussi comme un monde sous influence : les relations étroites de Sam Giancana avec Frank Sinatra ou Marilyn Monroe en témoignent. On ne commence pas ce livre sans le terminer : au-delà des révélations, c’est en effet le mythe d’une époque, d’une dynastie, et d’une certaine Amérique qui s’effondre. Chuck Giancana, soixante-dix ans, directeur d’hôtel puis promoteur, ne fut jamais mêlé directement aux affaires de son frère aîné, Sam, dont il était cependant le confident. Samuel M. Giancana est le neveu du gangster. Il a trente-six ans et a fondé une société de relations publiques.
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Elle est apparue dans son viseur sur Oxford Street. Calmement il a pressé la détente. Comme dans un jeu de massacre, Linda Bowman s’est effondrée. Première victime d’une longue série. Pour Robin Culley, policier peu orthodoxe, le cauchemar vient de commencer. De Londres à l’Arizona, du milieu politique britannique à celui du trafic d’art international, Culley s’engage dans une hallucinante chasse à l’homme et découvre peu à peu les tenants d’une machination où sont impliqués des commanditaires au-dessus de tout soupçon. Portrait saisissant d’un véritable ange exterminateur…
Le voyage
Automne 1942, la Pologne est sous le joug nazi. Katarzyna et Elzbieta, jeunes Juives polonaises, réussissent à fuir le ghetto pour échapper à la déportation. Un long périple les mène chez l’ennemi même, en Allemagne, où, elles s’inscrivent pour le travail volontaire. Comme le dit leur père, «plus les projets sont fous, plus ils réussissent». Mais le subterfuge, utilisé par de nombreux Juifs, est déjà connu de la Gestapo. Contraintes d’errer d’usines en fermes, de changer de noms et de rôles, les deux sœurs vivent dans la peur d’être démasquées et l’espoir de retrouver leur père et leur pays.

