Philippe Lombard
Répliques de films à l’usage du quotidien
Vous rêvez de posséder la repartie de Jean-Paul Belmondo ou la charmante maladresse de Woody Allen ? Maîtriser les bons mots de Michel Audiard ou l’uppercut langagier de Clint Eastwood ? Témoigner du flegme de Jean-Pierre Marielle ou de l’humour de Whoopi Goldberg ? Formules grivoises, discours percutants, agiles mots d’esprit. Cet ouvrage réunit 600 des répliques les plus drôles et impertinentes du cinéma, certaines devenues cultes. 600 répliques, à savourer et à s’approprier, qui pourraient bien faire de vous un expert de la parade et de la facétie.
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Wala Bok : une histoire orale du hip hop au Sénégal se souvient et narre les mémoires des générations de pratiquants du hip hop, des derniers précurseurs aux derniers arrivés, des promoteurs et des rares critiques sociaux intéressés par ce mouvement aux multiples facettes. Une ballade à travers l’histoire et la vie contemporaine dans la jungle urbaine et dans les quartiers populaires. Les portraits artistiques et témoignages de ce courant motivé par la reconnaissance de la diversité culturelle et la quête d’un monde meilleur dévoilent une société hétéroclite qui tire les ficelles entre promotion artistique personnelle et engagement politique.
Reportages
C’est en 1959 que Christian Brincourt débute sa carrière de journaliste. Depuis une quarantaine d’années – 13 ans à RTL, 28 ans à TF1 -, son nom est connu dans le monde du grand reportage et de l’audiovisuel. Au cours de toutes ces années d’investigation, qui l’ont conduit du Biafra à l’Himalaya, ou qui l’ont amené à côtoyer le général De Gaulle ou Indira Gandhi, Christian Brincourt avait toujours un appareil photo en poche, à la fois par plaisir et par souci professionnel. De ces voyages, de ces tournages (grandes expéditions dans l’Everest ou en Amazonie) et de ces rencontres (Lino Ventura, Brigitte Bardot, Eric Tabarly, Paul Emile Victor), il a ramené des images fortes et insolites. Ces photographies sont à l’image de l’éclectisme des grands reportages qu’il a réalisés. Loin de vouloir se comparer aux plus éminents photographes, le grand reporter qu’est Christian Brincourt, a simplement su saisir en maintes occasions, l’opportunité d’être le seul » photographe » sur place.
Notes d’Afrique relate l’essor de la musique populaire sur le continent. Le livre couvre les évènements et les styles musicaux qui se sont développés depuis les années 60, jusqu’aux années 80 lorsque que le terme « World Music » a été inventé comme label marketing et que des musiciens africains, notamment Youssou N’Dour et ses contemporains, sont apparus sur la scène internationale, et la dominance d’Afrobeats de la période contemporaine. Jenny Cathcart nous offre, à travers son expérience personnelle et son travail aux côtés de Youssou N’Dour, des portraits et des histoires de la vie de tous les jours et leur influence sur la musique en Afrique. Il en résulte de nouvelles perspectives pour la culture contemporaine, la religion et la politique, aussi bien pour le développement que pour de futures collaborations sur le continent et dans sa diaspora.
Un jour, ils auront des peintres
« Vous comprendrez, quand vous verrez l’Amérique, qu’un jour ils auront des peintres, parce que ce n’est pas possible, dans un pays pareil, qui offre des spectacles visuels aussi éblouissants, qu’il n’y ait pas de peintres un jour ». La prophétie date de 1933. Comme tous les autres Européens de retour des Etats-Unis, Matisse se dit envoûté Il annonce l’avènement d’une nouvelle ère, celle des peintres américains. Tout commence à Paris, le 1er juilet 1867, dans les fastes de l’Exposition Universelle : après la guerre de Sécession, les paysagistes d’outre-Atlantique, qui forment la première véritable école de leur pays, retrouvent, optimistes, le chemin de l’Europe. Mais les critiques français leur réservent ricanements et sarcasmes : « Cette exposition est indigne des fils de Washington. Au milieu de nos vieilles civilisations, les Américains font l’effet d’un géant fourvoyé dans une salle de bal. » … L’épopée des peintres américains racontée par Annie Cohen-Solal nous transporte de Paris à New-York, de Giverny à Chicago, de Pont-Aven à Taos, au Nouveau-Mexique, et s’achève à la Biennale de Venise, en 1948, lorsque sont présentées, pour la première fois en Europe, huit toiles de Jackson Pollok, un artiste inconnu des Européens de l’époque, mais bientôt célébré dans le monde entier comme le premier véritable maître américain.