Philippe Lombard
Répliques de films à l’usage du quotidien
Vous rêvez de posséder la repartie de Jean-Paul Belmondo ou la charmante maladresse de Woody Allen ? Maîtriser les bons mots de Michel Audiard ou l’uppercut langagier de Clint Eastwood ? Témoigner du flegme de Jean-Pierre Marielle ou de l’humour de Whoopi Goldberg ? Formules grivoises, discours percutants, agiles mots d’esprit. Cet ouvrage réunit 600 des répliques les plus drôles et impertinentes du cinéma, certaines devenues cultes. 600 répliques, à savourer et à s’approprier, qui pourraient bien faire de vous un expert de la parade et de la facétie.
Vous aimerez aussi
Reportages
C’est en 1959 que Christian Brincourt débute sa carrière de journaliste. Depuis une quarantaine d’années – 13 ans à RTL, 28 ans à TF1 -, son nom est connu dans le monde du grand reportage et de l’audiovisuel. Au cours de toutes ces années d’investigation, qui l’ont conduit du Biafra à l’Himalaya, ou qui l’ont amené à côtoyer le général De Gaulle ou Indira Gandhi, Christian Brincourt avait toujours un appareil photo en poche, à la fois par plaisir et par souci professionnel. De ces voyages, de ces tournages (grandes expéditions dans l’Everest ou en Amazonie) et de ces rencontres (Lino Ventura, Brigitte Bardot, Eric Tabarly, Paul Emile Victor), il a ramené des images fortes et insolites. Ces photographies sont à l’image de l’éclectisme des grands reportages qu’il a réalisés. Loin de vouloir se comparer aux plus éminents photographes, le grand reporter qu’est Christian Brincourt, a simplement su saisir en maintes occasions, l’opportunité d’être le seul » photographe » sur place.
Peinture sur Porcelaine
Débutant ou expérimenté, vous trouverez dans cet ouvrage tout pour la peinture sur verre. Des bases jusqu’à la cuisson en passant par les couleurs interférentielles, métalliques, les reliefs, les métaux précieux, le dépoli et le glaçage.
Un jour, ils auront des peintres
« Vous comprendrez, quand vous verrez l’Amérique, qu’un jour ils auront des peintres, parce que ce n’est pas possible, dans un pays pareil, qui offre des spectacles visuels aussi éblouissants, qu’il n’y ait pas de peintres un jour ». La prophétie date de 1933. Comme tous les autres Européens de retour des Etats-Unis, Matisse se dit envoûté Il annonce l’avènement d’une nouvelle ère, celle des peintres américains. Tout commence à Paris, le 1er juilet 1867, dans les fastes de l’Exposition Universelle : après la guerre de Sécession, les paysagistes d’outre-Atlantique, qui forment la première véritable école de leur pays, retrouvent, optimistes, le chemin de l’Europe. Mais les critiques français leur réservent ricanements et sarcasmes : « Cette exposition est indigne des fils de Washington. Au milieu de nos vieilles civilisations, les Américains font l’effet d’un géant fourvoyé dans une salle de bal. » … L’épopée des peintres américains racontée par Annie Cohen-Solal nous transporte de Paris à New-York, de Giverny à Chicago, de Pont-Aven à Taos, au Nouveau-Mexique, et s’achève à la Biennale de Venise, en 1948, lorsque sont présentées, pour la première fois en Europe, huit toiles de Jackson Pollok, un artiste inconnu des Européens de l’époque, mais bientôt célébré dans le monde entier comme le premier véritable maître américain.