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Hubert Monteilhet
Rome n’est plus dans Rome, elle est toute où je suis
Y a-t-il 2 églises ? Et qu’est-ce qu’au juste qui les sépare ? La rupture porte-t-elle sur le fond ou sur la forme ? S’agit-il de soutanes ou bien de dogmes et de morale ? Des évêques onanistes et avorteurs auraient-ils trahi l’Évangile ? L’auteur organise sagement, méthodiquement, scrupuleusement sa réponse autour de documents capitaux : cités ou ressuscités, ils bouleversent les certitudes paresseuses, font sursauter les consciences tranquilles, violentent les âmes assoupies, dans une lumière originale de piété et d’insolence qui ne laisse indifférent ni croyant ni mécréant.
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« Au nom du Dieu Amour tu aimeras » dit l’abbé Pierre. « Au nom des Hommes tu en sauveras un même si tu ne peux les sauver tous » dit Bernard Kouchner. L’un est prêtre de Dieu, l’autre a cherché Dieu dans ute ltoute les horreurs et trahisons du monde et ne l’a pas trouvé. L’un et l’autre sont les révolutionnaires de la charité et de l’aide humanitaire ; l’un et l’autre sont écoutés car ils sont de ceux, si rares, qui allient contre tous les obstacles la parole à l’action, la générosité au courage. Ils nous disent combien il est urgent de sortir de nos maisons, de nos égoïsmes, de nous réveiller, de nous lever et de tendre la main.
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Découvertes Gallimard n° 95 – Les cisterciens voulaient mener une vie monastique parfaite, sans compromission avec le siècle. Leur aventure spirituelle, commencée en 1098, est toujours actuelle, et concerne aujourd’hui quelque sept mille moines et moniales. Mais le rêve cistercien va bien au-delà d’une quête confinée aux monastères où vivent des chrétiens épris d’absolu. Il a profondément modifié les relations de l’homme à la nature, à la société, à l’art. Dès le XIIe siècle, la volonté de réforme et les aspirations mystiques de solitaires volontairement coupés du monde ont déterminé des métamorphoses qui nous concernent tous. Historien et archéologue, Léon Pressouyre nous convie à ce retour aux sources.
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